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Le blog de Dasola
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29 juillet 2011

Petite satisfaction statistique

A l'occasion du passage en pause de Dasola, j'en [Ta d loi du cine] profite pour annoncer une nouvelle qui me tient à coeur...

Ca y est, le dernier des "billets orphelins" de 2007 du blog de Dasola a reçu son commentaire (il y a déjà quelques semaines) ;-)

Merci à tous pour l'effort (il en restait près de 60 début 2008, et encore 25 à la mi-2009). Maintenant, je vais me fendre de quelques chiffres d'analyse. Au total, les billets "à un seul commentaire" de ce blog sont donc 111, commentés par 50 personnes différentes (je citerais juste Ffred [9 billets], Dominique [de Nuages et vents, 7 billets], et Toinette80 [qui signe désormais Astrid, 5 billets]; seules 2 personnes ont commenté un unique billet "par ailleurs monocom" sur le blog - sans s'y remanifester donc). Les 828 autres billets se partagent la somme de plus de 8720 commentaires.

Puisque je tiens la plume, je vais aussi donner quelques autres stats sur les "singletons" (personnes qui ont mis un seul commentaire sur le blog de Dasola): ils ont été 39 en 2007 (dont 24 blogueurs et 15 sans-blog), 81 en 2008 (52 et 29), 87 en 2009 (60 et 27), 94 en 2010 (67 et 27), et 39 (36 et 3) en 2011 à ce jour.

Cela représente au total 340 personnes (sur 740, soit 46%), dont 101 non-blogueurs, et autant de commentaire bien entendu (mais sur 8830, soit moins de 4%). La plupart des blogs dont n'ont émané qu'un seul commentaire les années précédentes ont cessé leur activité (parfois dans les jours ou les semaines qui ont suivi leur commentaire chez Dasola).

Les billets "monocom" du blog de Dasola, eux, remontent, pour la plupart, à 2007 (1ère année d'existence du blog). Nous en avons ramé, dasola et moi, à les ramener à la surface en rappelant encore et encore leur existence aux internautes (notamment par le biais des "bilans statistiques" publiés périodiquement - ci-dessous quelques liens vers ceux-ci, qui ressortent du tag "Vie du blog").

800ème billet - 25/08/2010
700ème billet - 3ème bloganniversaire - 09/01/2010
600ème billet - 15/06/2009
2ème anniversaire - 09/01/2009

En 2011 (à ce jour), 229 personnes ont fait 1319 commentaires (511 personnes sont venues sur le blog les années précédentes sans revenir cette année). Hé bien, désormais, on va pouvoir commencer à [leur] repasser tous les pauvres billets de ce blog qui n'ont eu qu'un unique commentaire...
Comment ça, "nooon!"? C'est bon, je sors.

26 juillet 2011

The murderer - Hong-jin Na

Ayant bien apprécié The Chaser, je me suis décidée à aller voir The murderer de Hong-jin Na. Que dire? J'ai aimé, mais trop c'est trop (d'hémoglobine). Ca gicle, ça dépiaute. Que de sang! Que de cadavres! Et toutes les tueries se font à l'arme blanche: hache, couteau, sans parler de fémur de gros animaux. Pendant la dernière heure, cela n'arrête pas. Il y a quelques courses-poursuites en camion et voiture assez mémorables. A part ça, l'histoire est menée tambour battant avec un Coréen, chauffeur de taxi, qui vit dans une province autonome coréenne située en Chine. Joueur invétéré de mah-jong, il perd plus qu'il ne gagne. Il doit une grosse somme d'argent à rembourser sous peine de mort. Il se trouve obligé d'accepter un marché auprès d'un trafiquant peu recommandable: tuer un homme à Séoul. Il a 8 jours pour mener à bien sa mission. Il se rend compte qu'il n'est pas le seul à avoir cette sinistre besogne. Il l'apprend à ses dépens, et de chasseur il devient chassé. Cela ne l'empêche pas d'en profiter pour rechercher sa femme partie depuis 6 mois à Séoul et dont il n'a aucune nouvelle. La toute fin qui se passe au milieu de l'eau est pratiquement le seul moment de calme du film. Si vous fermez les yeux de temps en temps (pour ne pas contempler les tueries), je pense que vous pourrez apprécier cette histoire où les relations humaines entre un homme et sa fille ou un homme et sa femme sont essentielles.

Comme annoncé, je prends une petite pause jusqu'au 31 juillet inclus, destination Forêt Noire, Rhin et quelques villes alsaciennes comme Colmar. Mon prochain billet paraîtra le 01/08/11.

23 juillet 2011

Films vus et non commentés depuis le 02/07/11

Juste avant de songer à prendre une petite pause de quelques jours, voici un premier billet sur 3 films que j'ai vus récemment. Je recommande les deux derniers.

Switch de Frédéric Schoendoerffer est tiré d'un scénario original de Jean-Christophe Grangé (que j'apprécie très moyennement). Une jeune canadienne de Montréal avec des problèmes existentiels et de boulot, se retrouve, à Paris au coeur d'une machination meurtrière dont elle est la cible (une usurpation d'identité). On découvre tout à la fin les liens qu'elle entretient avec celle qui lui en veut à mort (et je pèse mes mots). J'y suis allée parce qu'il y avait Eric Cantona qui se débrouille pas mal comme acteur habituellement mais là, il dit un dialogue truffé de lieux communs. Karine Vanasse, l'actrice principale, n'est pas mal, mais l'ensemble manque de crédibilité, avec quelques scènes comme celle avec la mère de l'héroïne et son fusil, sans parler d'une scène de poursuite où la caméra est accrochée sur les acteurs qui courent à perdre haleine. On en a la tête qui tourne. J'avais préféré Scènes de crimes (1999), du même réalisateur.

Omar m'a tuer de Roschdy Zem m'a plu car il reste modeste dans son propos. Sami Bouajila qui joue Omar Raddad est très sobre. L'acteur / réalisateur a réussi son pari d'évoquer cette affaire qui a défrayé la chronique, il y a déjà 20 ans en juin 1991. A Mougins, sur les hauteurs de Cannes, un jardinier marocain, Omar Raddad, qui parlait peu le français, est accusé d'avoir tué sa patronne, Ghislaine Marchal, chez elle, dans sa cave. Celle-ci aurait réussi, avant de mourir, à écrire la phrase qui accusait le jardinier "Omar m'a tuer" avec la célèbre faute de grammaire à la fin. Le film retrace toute l'histoire, de 1991 à 1998, année où Omar Raddad fut libéré après avoir écopé de 18 ans de prison avec des circonstances atténuantes. Il fut défendu par Maître Jacques Vergès, qui a cette répartie (de mémoire!): "Pour une fois, j'ai un client qui est innocent". On voit en préambule qu'Omar aimait jouer au casino et perdait beaucoup d'argent aux machines à sous. Il aurait tué sa patronne pour l'argent. C'est une histoire d'un homme qui ne sait pas se défendre car il ne sait ni lire, ni écrire. On sent le bouc émissaire. Roschdy fait vaguement allusion aux liens de parenté et autre de Ghislaine Marchal avec quelques sommités du monde politique, diplomatique et autre. Mais aucune autre piste, aucun autre mobile pour un tel assassinat ne nous sont donnés. Omar Raddad est peut-être innocent mais alors qui sont le ou les coupable(s) et pourquoi? D'autres films sont certainement à faire sur cette affaire passionnante.

Hannah de Joe Wright est un thriller atypique qui se passe de nos jours, dans lequel les personnages principaux sont joués par des femmes ou plus exactement par une femme (la "méchante": Cate Blanchett, impeccable) et une jeune fille de 16 ans (Saoirse Ronan, vraiment bien) qui est une machine à tuer redoutable. Au bout du compte, l'enjeu de l'affrontement aux implications génético-scientifiques n'a rien d'original, mais le film est bien mené et sans temps mort et les décors des contes de Grimm (dans un parc d'attractions à Berlin) où se déroulent l'affrontement final ont beaucoup d'allure. Je conseille.

Dans le prochain billet à paraître le 26/07/11, j'évoquerai The murderer de Hong-jin Na (Le réalisateur de The Chaser).

20 juillet 2011

Le diable danse à Bleeding Heart Square - Andrew Taylor

P1020342 

Répéré chez Keisha (qui a moyennement aimé) et Cuné (qui, elle, a bien apprécié), j'ai voulu lire Le diable danse à Bleeding Heart Square (quel titre!) et je ne regrette pas d'avoir lu ce roman (collection NéO aux éditions du Cherche-midi).

Sans dévoiler beaucoup de l'histoire, cela se passe en 1930 et 1934 à Londres, dans une pension située à Bleeding Heart Square. Il est question d'une femme, Penelope Penhow, qui n'a pas donné signe de vie depuis 4 ans, sauf par une lettre envoyée des Etats-Unis. L'un des personnages principaux, Lydia Langstone, issue de la haute bourgeoisie, s'émancipe en quittant son mari qui la bat. Elle trouve refuge temporairement dans la pension de Bleeding Heart Square où vit son père qu'elle n'a pas vu depuis des années. Elle croise plusieurs personnages dans cette pension, dont le propriétaire, Joseph Serridge, qui reçoit par la poste des coeurs en décomposition. Cet homme fut l'ami et l'amant de Miss Penhow, la femme disparue. L'auteur, Andrew Taylor, évoque aussi les milieux d'extrême-droite de l'époque avec Gerald Mosley. C'est une triste histoire de jalousie, de concupiscence, de jeunes femmes dévoyées, de crimes impunis. Je vous laisse découvrir ce roman de 480 pages qui se lit d'une traite et vous connaîtrez ainsi la légende de Bleeding Heart (littéralement le coeur saignant - ou qui saigne) Square.

17 juillet 2011

Le moine - Dominik Moll

Comme Ffred, j'ai beaucoup aimé le dernier film de Dominik Moll, Le moine (sorti cette semaine), d'après le roman anglais de Matthew Gregory Lewis. On était trois spectatrices dans la salle de la ville de province où je me trouve en ce moment (c'était l'après-midi). Le film se caractérise par une atmosphère qui devient de plus étrange et lourde de menaces à mesure que l'histoire avance, ponctuée par trois assassinats brutaux, de très beaux décors et la musique d'Alberto Iglesias (le compositeur de musique des films d'Almodovar) qui contribue un peu plus à la tension qui s'installe. Parmi les acteurs, Vincent Cassel est très bien en soutane, ainsi que Catherine Mouchet (impeccable comme d'habitude). Il faut noter le personnage effrayant de mère abbesse interprété par Géraldine Chaplin, et celui de Sergi Lopez, dans un rôle diabolique. L'histoire se passe en Espagne au XVIIème siècle. Un nourrisson avec une tache de naissance à l'épaule en forme de main (celle du Diable?) est abandonné aux portes d'un monastère. Devenu adulte, il devient frère Ambrosio (Vincent Cassel) et par là même un confesseur et une figure centrale du monastère. La qualité de ses sermons amène de plus en plus de fidèles fervents, dont un jeune homme étrange, Valerio, portant un masque. Ambrosio fait un rêve récurrent et on assiste aussi à un soudain retournement de situation qui fait qu'Ambrosio n'est peut-être pas l'homme de Dieu que l'on croit. Cela donne envie de lire le roman (publié en 1796) de Matthew Gregory Lewis, que personnellement je n'ai jamais lu. Certains vont peut-être se demander pourquoi filmer cette histoire maintentant? Je n'ai pas la réponse, mais je conseille vivement ce film vénéneux qui est le premier que j'apprécie de Dominik Moll.

14 juillet 2011

Chico et Rita - Fernando Trueba et Javier Mariscal

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Le 6 juillet 2011 est sorti un film que je vous conseille, Chico et Rita de Fernando Trueba et Javier Mariscal. Ce film d'animation flamboyant, coloré, musical en diable avec une très belle histoire d'amour en toile de fond, se déroule sur 50 ans entre Cuba et les Etats-Unis. L'histoire commence à Cuba de nos jours avec un retour en arrière en 1948 où les Cubains menaient une vie insouciante. Chico, jeune pianiste de talent, accompagne des chanteuses comme Rita, femme légère, orgueilleuse mais amoureuse. Leur liaison orageuse les éloigne pour mieux se retrouver et se séparer de nouveau. Partie aux Etats-Unis, Rita devient célèbre; Chico, lui, va accompagner des orchestres comme celui de Dizzie Gillepsie. L'arrivée de Fidel Castro au pouvoir est évoquée en pointillé mais l'histoire d'amour ainsi qu'une chanson intitulée "Rita" rebaptisée par la suite"Lilly" résument le film. Vraiment, vous ne devriez pas regretter de voir ce "dessin animé" pour adultes qui tient toutes ses promesses.

11 juillet 2011

Le perroquet des Batignolles - 1. L'énigmatique Monsieur Schmutz - Boujut, Tardi, Stanislas

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Je voulais rendre hommage par le biais d'une BD adaptée d'une pièce radiophonique diffusée sur les ondes de France Inter en 1997 au journaliste écrivain producteur de télé, Michel Boujut, récemment disparu.
Michel Boujut fut le producteur réalisateur (avec Anne Andreu et Claude Ventura) de "Cinéma, cinémas", cette émission génialissime qui parlait de cinéma dans les années 80 (1982 à 1991). Diffusée sur France 2, elle a égayé le paysage audiovisuel français. Il fut une époque encore récente où la télévision française fabriquait des émissions de qualité qui ne prenaient pas les téléspectateurs pour des imbéciles.
Pour en revenir à la BD proprement dite, Le perroquet des Batignolles - 1. L'énigmatique Monsieur Schmutz, il s'agit de la première partie de l'histoire. La suite paraîtra l'année prochaine (hélas, il faut attendre). Il est prévu 5 volumes en tout. Très agréable à lire, l'histoire policière menée par un preneur de son à Radio France, Oscar Moulinet, "vieux, très vieux... 35 ans...", se passe au tout début du XXIème siècle. Je vous donne quelques éléments importants de l'intrigue: des petits canards en or boite à musique (qui jouent "L'entrecôte" chantée par les Frères Jacques), des bandes magnétiques audio dissimulées dans ces mêmes canards, une cantatrice noyée, un sommelier étranglé, la petite amie d'Oscar menacée, un faussaire en tableaux et objets d'art. J'aime beaucoup les dessins de Stanislas (voir la couverture). Il y a quelques clins d'oeil à des hommes de radio connus à France Inter, et un bulletin de météo marine d'anthologie. J'ai hâte de découvrir la suite où il sera, j'espère, question du perroquet du titre, que l'on ne voit pas du tout dans ce 1er tome. [T.2 chroniqué le 16/11/2014]

8 juillet 2011

Reprises de films

Ca fait longtemps que je n'avais pas rédigé de petit billet "généraliste" sans faire la critique de tel ou tel film ou livre. J'en avais rédigé pas mal lors de la 1ère année de mon blog (en 2007 - déjà), parce que j'avais tout un "stock" de réflexions accumulées à faire partager. Par ces temps estivaux, c'est le moment de renouer avec une forme d'expression qui ne m'oblige pas à trop d'efforts intellectuels.
Pendant des années, l'été était l'occasion de (re)découvrir des films en reprise sur grand écran (West Side Story, Lawrence d'Arabie, Autant en emporte le vent, etc.). Cela existe encore (à Paris et peut-être ailleurs) mais on en parle moins. Et pourtant le DVD ou le Blu-Ray ne remplaceront jamais le plaisir que l'on peut éprouver de voir un film en grand large avec des spectateurs ravis. Comme je l'ai déjà mentionné, cet été 2011, il faut voir ou revoir Il était une fois en Amérique de Sergio Leone, mais aussi deux films de Bunuel, Le charme discret de la bourgeoisie et Le journal d'une femme de chambre (13 juillet), sans parler de différents cycles comme un hommage à Don Siegel ou aux studios de la RKO: que du bonheur!

5 juillet 2011

L'oeil du singe - Hugo Buan

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Grâce à Alex-mot-à-mots que je remercie, j'ai lu ce roman d'un écrivain français dont je n'avais jamais entendu parler, Hugo Buan, publié chez un "petit" éditeur, Pascal Galodé. Il s'agit a priori de la 4ème enquête du commissaire Lucien Workan, homme aux méthodes peu orthodoxes. L'histoire se passe à Rennes et dans ses environs. Maximilien Lachamp, paléoanthropologue de renom, est le découvreur d'une mandibule de l'"homo octavius". Il se trouve aussi impliqué dans une histoire de cadavres enterrés et déterrés. Une des armes des crimes sort de l'ordinaire: un fémur de mammouth adolescent. Le rythme endiablé de la narration est un des atouts de ce roman, qui ne m'a sans doute pas fait autant rire qu'Alex-mot-à-mots, mais je reconnais que j'ai passé un bon moment de lecture dans ce milieu peu connu mais passionnant de la paléontologie. Une petite femelle bonobo fait aussi une apparition en annexe de l'intrigue. Je pense lire un jour les trois premières enquêtes de ce commissaire Workan au langage pas toujours châtié, que l'on retrouve dans Cezembre noire, Hortensia blues et La nuit du tricheur.

2 juillet 2011

Films vus et non commentés depuis le 23/06/11

Voici encore quatre films très différents qui m'ont plus ou moins plu et que je vous recommande. Les deux premiers ont l'actrice principale en commun : Michelle Williams.

La dernière piste de Kelly Richardt est un western qui se passe en 1845. Des colons, 3 couples et l'enfant de l'un deux, se sont perdus dans le futur Etat de l'Oregon à l'ouest des Etats-Unis. Un homme leur sert de guide. Il ne se passe pas grand-chose si ce n'est la rencontre avec un Indien parlant un dialecte incompréhensible (et non sous-titré) qui devient leur prisonnier. Le but de ces hommes et ces femmes est de trouver de l'eau au milieu de ce paysage hostile qui les entoure. Nous sommes en plein "Gold rush" (ruée vers l'or) mais seule l'eau les intéresse. On assiste pendant 1H50 à leur cheminement semé d'embûches. Un des hommes tombe malade. La fin abrupte est très frustrante car on ne sait pas ce qui va leur arriver. Ce film peut rebuter plus d'une personne (comme mon ami par exemple). Voir l'excellente critique d'Edisdead. De la même réalisatrice et joué par la même actrice, Michelle Williams, j'ai quand même préféré Wendy et Lucy.

Dans un autre registre, Blue Valentine de Derek Cianfrance raconte avec des retours en arrière le délitement d'un couple, Dean et Cindy. Lui est déménageur, elle est infirmière. Ils élèvent une adorable petite fille, Frankie (Dean n'est pas le père). Les deux acteurs principaux, Ryan Gosling et Michelle Williams, sont très bien dans des rôles pas faciles. On y croit. Le personnage de Dean est peut-être moins bien écrit mais néanmoins je vous conseille ce film. Il faut rester jusqu'au générique de fin. Voir le billet de Wilyrah.

X-men, le commencement de Matthew Vaughn fait passer un bon moment. Les effets spéciaux de ces mutants et le "méchant" de l'histoire (Kevin Bacon) sont très réussis. Il n'est pas nécessaire d'avoir vu les autres films de la série (comme je l'ai fait) pour apprécier celui-là. C'est un bon film de genre pour ceux qui aiment.

Enfin, je garde mon "chouchou" pour la fin, j'ai nommé Kung-Fu Panda II de Jennifer Yuh où Po, mon panda préféré (et toujours "topissime" - cf. mon billet du 21/08/2008 sur l'opus I), a maille à partir avec un vilain paon qui veut gouverner la Chine. On apprend les origines de Po (je vous annonce, ô surprise, que Po avait été adopté par un jars et une oie). C'est mignon tout plein, aussi enlevé que le premier. Je recommande le film pour petits et grands.

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