J'ai vu Mensonges d'Etat lors de sa sortie (le 5 novembre 2008). Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris. On a un agent de la CIA, Roger Ferris (Leonardo di Caprio) qui se trouve au Moyen Orient (en Jordanie) et qui reçoit des ordres d'Ed Hoffman (Russel Crowe) un autre agent qui lui est aux Etats-Unis. Tout se fait par oreillettes interposées. Les mensonges d'Etat (Body of lies en VO) sont ceux qui permettent de préparer des coups montés pour capturer un méchant islamiste très imbu de sa personne. Pour faire bonne mesure, nous avons un homme des services secrets jordaniens (pas mal de sa personne) qui sauve in extremis Leonardo d'une situation mortelle. Russel Crowe n'arrête pas de manger (il faut qu'il fasse attention à sa ligne, on ne va plus le reconnaître) et de s'occuper de ses enfants. De temps en temps, on le voit arriver en avion privé sur le lieu des opérations ou alors (on n'arrête plus la technique), grâce aux satellites, on piste les personnages comme dans un grand jeu vidéo. On a même une "love story" entre une Iranienne et Leonardo di Caprio. Je reconnais que le film est bien fait, je ne me suis pas ennuyée. Ce n'est pas le meilleur de Ridley Scott, mais c'est regardable.
mardi 25 novembre 2008
Mensonges d'Etat - Ridley Scott
Commentaires sur Mensonges d'Etat - Ridley Scott
- Je n'ai pas eu envie d'y aller, mais Ridley Scott çà ne peut pas être vraiment mauvais.
- Mitigé aussiTechniquement, c'est clean rien à redire. Après, ça manque de personnalité (il n'y a pas la nervosité de Blach Hawk Down et les plans satellites sont un peu trop semblables à ceux de frérot Tony dans Ennemi d'Etat), c'est confus, c'est long, assez prévisible et la morale à deux balles (la CIA c'est pas bien, les intégristes c'est pas bien non plus, peace mon frère et vote Obama pour Leo le philantro) flinguent le film. Mais oui, en effet, ça se laisse regarder.
- Tu as une façon bien particulière de présenter le film
Il s'agit de la traque d'un terroriste dangereux et le film montre à la fois les méthodes de ces extrémistes et celles de la CIA. On se rend compte de deux choses, c'est qu'on les connaît mal, les unes comme les autres, et surtout qu'elles ne sont pas si différentes que ça.
J'ai bien aimé ce film, même si la romance n'est pas très crédible...
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