Vu dans le cadre d'un cycle western à l'Action Christine, The Tall Men (en VO) est un film de 1955 que je ne connaissais pas. Petite anecdote en passant, Clark Gable, qui partage l'affiche avec Robert Ryan et Jane Russell, ne me semblait pas grand. Il m'a paru même être très petit. Je ne sais pas si la position de la caméra en est la cause, mais ce détail m'a frappée. Je reprends. Peu après la fin de la guerre de Sécession, dans le Montana, deux frères texans, un peu voleurs, Ben (Clark Gable) et Clint (Cameron Mitchell), acceptent la proposition d'un homme (Robert Ryan), à qui ils ont dérobé beaucoup de pièces d'or, de l'aider à convoyer un très important troupeau de bétail (avec chevaux et chariots) du Texas vers le Montana. La première partie du film voit les trois hommes chevaucher vers le Texas. Sur leur route, ils croisent le chemin de Nella (Jane Russell) en la sauvant d'une attaque des Indiens. Elle rêve d'une vie tranquille dans le sud. Ben et Nella tombent amoureux l'un de l'autre mais n'osent se l'avouer. Nella décide d'accompagner les trois cavaliers. Durant la seconde partie du film, nous assistons au convoyage proprement dit. Des Mexicains qui sont tout dévoués à Ben sont aussi du voyage. Le film fait la part belle aux paysages grandioses, à la vie rude des hommes. Un film distrayant et agréable à voir. Je remarque une fois de plus que le public qui vient aux projections paraît être constitué de connaisseurs. Il y a des femmes (comme moi), la moyenne d'âge est la quarantaine. C'est bien, les westerns sur grand écran!
Commentaires sur Les Implacables - Raoul Walsh
- Bonjour Dasola,Niveau western, je vais peut-être aller voir Appaloosa ce soir. J'hésite avec Frost/Nixon cependant. Je verrai bien lorsque je devrai porter mon choix.
- Voir ou revoir des films classiques sur grand écran est une activité que j'aime bien, en tant que cinéphile. J'ai commencé à 18 ans avec "Les Dix Commandements" pour bien me rendre compte de l'impressionnante scène de l'ouverture de la mer rouge. Côté western, c'est "Il était une fois dans l'Ouest" qui m'a impressionée. Rien ne remplace le ressenti d'un film sur grand écran dans une salle obscure.
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