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30 mars 2023

Le livre est-il écologique? - Collectif

J'ai (ta d loi du cine, "squatter" chez dasola) découvert le livre objet du présent billet chez la librairie de quartier que je fréquente principalement. Il y a quelques années, je partageais équitablement mon budget "livres neufs" chez une seconde librairie, mais j'ai un peu "laissé tomber" cette autre à l'occasion de son changement de propriétaires, lorsque l'ancienne libraire a pris sa retraite et a vendu son "fonds de commerce", même si je continue à recevoir les invitations pour toutes les dédicaces et autres conférences qui y sont organisées... et auxquelles je ne prends pas le temps de me rendre, alors que certains sujets pourraient m'intéresser. Bref. Je reviendrai sur ce sujet plus bas.

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Le livre est-il écologique? Matières, artisans, fictions, 2020, Wildproject (collectif), 103 p., 9 euros.

Le problème avec les livres collectifs, c'est que, même portant sur un thème précis, ils peuvent parfois sembler faits de bric et de broc, avec des parties qui éveilleront plus ou moins l'intérêt de chaque lecteur, et/ou des plumes plus ou moins étincelantes. J'ai bien sûr été attiré par le "post-it" signalant que ce livre (en présentoir) avait été co-rédigé par ma libraire, que je connais depuis 19 ans, à l'époque où la librairie qu'elle avait en tête de fonder n'était encore qu'un projet qui cherchait du financement solidaire (les plateformes de financement participatif n'existaient pas à ce moment-là). Mais je recommence à m'égarer!

Je l'ai donc réservé, en demandant une dédicace (la fondatrice n'est depuis longtemps plus seule contrairement à ses débuts (dans un local plus petit), elle a depuis plusieurs années embauché des salarié.e.s et ouvert son capital à au moins une associée). Lorsque je suis repassé, elle était elle-même présente et j'ai pu lui rafraîchir la mémoire. Après cette "mise en contexte", j'en viens enfin au livre lui-même.

Comme le dit la quatrième de couv', "cet ouvrage a été réalisé par l'Association pour l'écologie du livre, qui oeuvre de façon interprofessionnelle sur les questions d'éco-responsabilité et de bibliodiversité". Le livre comprend trois parties principales, titrées "Etat des lieux (entretiens)", "Horizons (écofictions de libraires)" et "Vers l'écologie du livre (manifestes)". Selon la page "Crédits" (p.101), les textes qui le composent ont, pour certains, été publiés dans la presse, sur internet, ou dans un ouvrage précédent. 

La partie "technique" sur la filière livre (l'entretien avec ma librairie, mais aussi ceux avec un éditeur et surtout avec un forestier) est celle qui a le plus éveillé mon intérêt, en évoquant les problématiques des différents composants de la filière livre. Pour la librairie, l'entretien porte sur l'adéquation entre un projet spécifique pour une librairie et les contraintes (organisation des rayons, économie fragile du secteur livre...). L'éditeur (une petite Maison basée en Belgique) explique qu'il réalise 80% de son chiffre d'affaires avec 120 librairies seulement, avec lesquelles il a construit des relations privilégiées. Le forestier nous donne une vision (que j'ai trouvée passionnante!) de la filière "papier" (mondialisé) et de l'inertie des éditeurs, où les "gros" (en France, en tout cas) décident davantage en fonction de leurs intérêts propres que de celui de la planète...

La partie consistant en écofictions de libraires présente quatre nouvelles se déroulant dans quelques années (2030 ou après) et imaginant ce qu'a pu devenir leur métier. Elles ont été réalisées dans le cadre d'un atelier d'écriture en 2019 (l'intégralité des nouvelles produites peut être trouvée en ligne sur le site de l'association, rubrique "ressources"). Là, j'ai commencé à être un peu moins convaincu: certaines sont plutôt dans l'utopie, à mon avis (ayant pour cadre une communauté idéalisée qui possède une impressionnante collection de livres...). Vers la fin de la dernière nouvelle (p.77-78), j'avoue avoir été interpellé par les phrases suivantes: "Eh bien, en fait, on a créé une usine à papier recyclé il y a trois ans. Elle est au fond du champ derrière la librairie. Donc on fait à la fois de la récupération de livres endommagés ou qui ont peu d'intérêt pour les membres de la communauté, mais aussi de pas mal de chiffons; Et c'est avec ça qu'on fait pour ainsi dire l'ensemble du papier de la commune ainsi que quelques dizaines de livres en auto-édition". Autant je trouve génial cette production autonome de papier et sa finalité, autant je suis heurté par ce "mépris" pour certains livres, exclus a priori et définitivement (sur décision irréversible) de toute chance de lecture future, ce qui s'apparente à une forme de censure et me déplait. J'aurais préféré lire "... endommagés ou de livres en nombreux exemplaires qui ont peu d'intérêt pour les membres de la communauté (en veillant bien sûr à en préserver un exemplaire aux fins de conservation), mais aussi (etc.)". Mais bon, chaque lecteur ou lectrice pourra avoir son propre avis je suppose.

Enfin, à la lecture des deux "manifestes" de la troisième partie, j'ai commencé à accentuer ma réticence. Ces manifestes sont vraiment trop "conceptuels" pour moi, et j'avoue que mettre en avant le décolonialisme ou les réunions non-mixtes n'est pas forcément le meilleur moyen de capter mon attention bienveillante. Les chercheur.euses cité.e.s dans ces manifestes contribuent chacun.e à la "déconstruction" de l'écologie, à renommer "humanités écologiques", où peuvent prendre place les oeuvres des philosophes écoféministes, les anthropologues du non-humain, les zoophilosophes, les penseurs biorégionalistes, ceux écodécoloniaux, sans parler des écopoéticiens... En parlant de la convergence de certains de ces thèmes vers des ouvrages trangenres, ils m'ont perdu comme lecteur, sans, je le crains, me donner pour le moment envie d'en découvrir davantage. Dans le second manifeste, titré "Les trois écologies du livre" (écologie matérielle, écologie sociale, écologie symbolique), le parti pris assumé est de partir du principe que, dans la chaine du livre, le féminin l'emporte (note p.90 - je n'ose demander si c'est de l'humour, de la provocation pour pousser à la réflexion, ou qui sait quoi d'autre).

A vous maintenant, lectrices et lecteurs, de vous forger votre propre opinion après lecture.

*********************

Quelques réflexions sur mon propre rapport à la lecture ces dernières années

Finalement, ce billet m'a été l'occasion de m'introspecter sur mes modes de lecture. Qu'est-ce qui, désormais, me motive à ouvrir un livre?

D'abord, un aspect utilitariste. Il faut qu'il corresponde à une des thématiques sur lesquelles je suis "en veille": l'ESS (économie sociale et solidaire) en général, l'écologie ou l'agriculture bio ou de proximité en particulier. Une fois lu, je prendrai la peine de l'apporter en consultation aux membres de mon club d'investisseurs CIGALES, avant (selon le sujet) de le verser au système de prêt de livres au sein de l'AMAP dont je fais partie. Exceptionnellement, j'en aurai, auparavant, tiré un billet pour le présent blog.

Pour enrichir ma bibliothèque thématique personnelle, je m'astreins à lire quasiment un "essai" par semaine en moyenne. Certains font moins de cent pages là où d'autres en comptent plusieurs centaines, certains viennent de paraître tandis que j'en ai acheté d'occasion d'autres - parfois débris de bibliothèques rachetées en bloc par la bouquinerie avec une dédicace de l'auteur -  à quelques euros pièce.

D'autre part, côté littérature récréative, j'ai surtout tendance à relire des livres que je connais déjà. BD et manga figurent en bonne place dans mes lectures. En fait je lis bien davantage que je ne chronique. 

Pour que je rédige un billet, paresseux comme je suis, il me faut, là encore, une carotte: un "challenge" bloguesque de plus ou moins longue durée, même si rédiger un billet me demande un effort supplémentaire (sans parler des recherches pour trouver quelques liens vers des blogs en ayant déjà parlé - recherches de plus en plus ardues désormais).

Je lis en tout cas beaucoup plus de ce que j'appelle les livres "de stock" (déjà disponibles depuis des années, parfois même épuisés en neuf) que "de flux": je ne suis guère les parutions récentes, sauf s'il s'agit d'un ouvrage qui recoupe mes propres centres d'intérêt. Je sais que je ne pourrai jamais tout lire. Alors, autant me concentrer sur ce qui serait susceptible de m'intéresser, plutôt que de me lancer vers l'inconnu. Il ne me vient jamais à l'esprit de demander conseil à une libraire. Je trouve souvent mention de nouvelles parutions (essais) dans la presse, et vais alors les commander à ma librairie. C'est par contre sur les blogs que je détecterai un ouvrage que j'ignorais d'un auteur déjà connu de moi, ou, parfois, un billet attirant mon attention sur un ouvrage à côté duquel je serai passé autrement (et que je vais le plus souvent chercher à emprunter en bibliothèque).

Et vous?

Commentaires
G
Pour ma part, je lis surtout aussi des ouvrages de fond et non de flux. J'emprunte en médiathèque, achète quand ce sont des auteurs ou éditeurs indépendants que j'apprécie, récupère aussi des livres d'occasion (désherbages de médiathèques, boîtes à livres). Je limite vraiment mes achats (car après cela prend de la place!) mais nous sommes deux grands lecteurs qui travaillons dans le livre, alors... Bon, sur l'écologie du livre, on sait qu'il y a une grande surproduction (pour répondre justement à cette logique de flux), quelque part les coûts en hausse pour le papier permettront peut-être de limiter la production.
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C
Je me retrouve dans cette manière de lire. Je découvre pas mal de choses dans la bibliothèque de l'arrondissement où je travaille (les livres posés sur les tables) et je cherche en fonction de mes sujets d'intérêt du moment. Récemment je me suis mise à fréquenter les bouquinistes. J'en ai trouvé un qui a des livres pas chers et assez inattendus, comme un ouvrage de Ian Fleming sur "des villes pour James Bond", paru en 1963, autant dire que la description de Berlin-Est est intéressante! Ou, trouvé hier, la correspondance de Chandler en poche, le tome 2 (si ça m'intéresse, j'achèterai le 1). J'aime beaucoup les correspondances. Je pense très souvent à écrire un post de blog, mais ça prend du temps si je veux faire ça bien. Alors j'écris sur ce qui me motive vraiment (les rapports hommes-femmes par exemple). Je lis aussi pour mon travail, ce qui peut être assez prenant.
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N
Je lis les auteurs que j'aime....je fais aussi quelques découvertes...<br /> <br /> Et "squatter" chez dasola" merci pour ta balade !<br /> <br /> Bises
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J
Je lis également bien davantage que je ne chronique. Parce que l'air de rien, parler d'un livre demande du temps, pour le plus souvent très peu de retour (je ne lis sans doute pas assez de livres "de flux", et puis au-delà de la chronique-SMS, dès qu'on rédige quelques lignes, on perd la plupart des lecteurs), donc peu d'échanges sur les impressions de lecture.<br /> <br /> Avec l'âge, j'ai moins la patience de "perdre du temps" avec des lectures qui ne m'apportent pas grand chose, aussi je préfère les lectures "de stock", dont j'ai pu lire des chroniques/critiques qui m'ont donné envie. J'ai appris à me méfier des livres tout juste sortis et encensés sur les blogs, les trouvant trop rarement à la hauteur des pâmoisons de leurs dithyrambes. <br /> <br /> Enfin, je lis également beaucoup de livres "de fond", des essais, donc, mais ne les commente pas, sauf exceptionnellement sous le coup d'un enthousiasme délirant, et juste pour me faire plaisir (parce que là pour le coup, c'est retour zéro).<br /> <br /> Je trouve mes livres un peu partout : librairies, braderies, bibliothèques.<br /> <br /> Mais je m'oriente de plus en plus vers du bibliothèque, pour de bêtes et désespérantes raisons de place. <br /> <br /> Quant à l'aspect écologique du livre... j'avoue y penser peu. Je connais un peu le problème de la pollution de l'industrie du papier, mais quand on voit les possibilités de recyclage du livre vs les tonnes de produits de l'industrie numérique envoyés dans les décharges des pays plus pauvres que nous, je me dis.........
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P
Je n'ai pas tout lu, c'est trop long.<br /> <br /> Mais une chose est sûre, je n'emprunterai sans doute aucun livre de ta bibliothèque, j'ai besoin de sortir des préoccupations et surtout grand besoin qu'on me raconte une histoire.<br /> <br /> <br /> <br /> Actuellement je termine Un meurtrier (simple et direct le titre mais je ne connais pas encore le coupable) recommandé par une certaine dasola. C'est mon premier Highschmidt, ce ne sera sans doute pas le dernier. J'espère qu'elle ne rate pas sa fin.
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I
A cause même de son essence (de bois, of course) un livre ne peut être écologique par les temps qui courent. L'industrie du bois (livres, mobiliers, constructions, et j'en passe...) est un énorme chantier lucratif. Alors ne demandez surtout pas à ces filières d'être écologiste. "Money is Money" <br /> <br /> Maintenant question plus délicate à mes yeux : qu'est-ce qui est plus écologique entre l'empreinte carbone d'un livre papier et celle d'un "e-book" ? Vous avez 4 heures pour rendre votre copie :)
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A
Enormément d'emprunt à ma BM, des achats de seconde main, quelques achats neufs et sélectionnés avec soin.
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K
Le livre est-il écologique ? Ce livre répond-il à la question ? <br /> <br /> J'essaye de respecter quelques principes pour mes lectures : moitié emprunt en médiathèque, moitié achats, le plus souvent en poche ou d'occasion (dans ce cas, j'évite Amaz... et choisis les livraisons par la Poste ou en point relais, moins "gourmandes").<br /> <br /> Je pose des livres dans les boîtes à livres ou les donne. <br /> <br /> Mais reste la question de la fabrication, est-elle écologique ? <br /> <br /> Et dernière question : ce ne sont que des libraires qui ont écrit cet essai ? Ce n'est pas eux qui vont dire qu'il n'est pas écologique d'acheter des livres neufs !
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D
Peut-être est ce ta présentation, mais je pense que tout comme toi, j'aurais préféré la première partie, j'ai un peu l'impression qu'on s'éloigne de la question du livre écologique ensuite.<br /> <br /> Je lis beaucoup en fonction de mes achats pour le CDI, et j'emprunte aussi beaucoup en médiathèque. Je fais aussi parfois de belles découvertes dans les boîtes à livres. J'ai aussi la chance de recevoir des livres avec Babelio. J'achète peu, car mon budget ne suffirait pas.
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S
Merci pour ce billet qui en dit un peu sur toi (hum, "ta loi du ciné", c'est pas un prénom par lequel s'adresser à quelqu'un...) et tes pratiques de lecture. Je m'intéresse en ce moment de près à l'écopoétique et à tous ces livres (plutôt romans) qui causent écologie, environnement, nature. C'est un domaine riche et relativement peu étudié. <br /> <br /> Au final dans l'ouvrage dont tu parles : le livre est-il écologique ?
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M
Il fut un temps où j'aurais lu ce genre de livres mais maintenant cela ne m'intéresse plus du tout. A l'inverse de toi je lisais beaucoup plus d'essai, de livres scientifiques ou autres dans ma jeunesse qu'à présent...un jour tous ces blablas "autour de" ont cessé de me passionner. J'ai décidé de me faire ma propre opinion sans eux :) Il faut dire aussi que les moyens d'information ont été de plus en plus accessibles avec internet. Perso j'emprunte tout en médiathèque et n'achète que rarement des livres sauf pour les offrir ou si je sais que je relirai l'auteur en question. Et comme toi cela m'arrive d'acheter d'occasion et de lire en numérique mais ce n'est pas ma méthode préférée...Merci de nous livrer tes réflexions toujours intéressantes à découvrir
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K
Un peu pareil (sauf que je lis des nouveautés), avec de plus en plus de non fiction
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L
Quelle honnêteté dans l'introspection autour de la lecture ! Billet très intéressant.
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