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Le blog de Dasola

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18 décembre 2007

Existe-t-il une personne qui n'aime pas Stanley Kubrick ?

Comme je ne me décidais pas à rédiger une chronique pour un de ses films en particulier, j'ai hésité à parler de ce réalisateur, parce que je ne fais pas des "critiques" de films érudites. Je dis simplement dans mes billets ce qui me plaît ou ne me plaît pas. Je n'ai même pas encore vu toute l'oeuvre de Stanley Kubrick (1928-1999): il me reste Spartacus à découvrir, ainsi que ses deux premiers longs métrages, Fear and Desire (1953) et le Baiser du Tueur (1954). J'ai vu tous les autres mais il faudrait que j'en revois certains car je les ai visionnés il y a plus ou moins longtemps. C'est pourquoi je fais ce billet en posant la question du titre. En ce qui me concerne, ce cinéaste ne m'a jamais laissée indifférente. Il était producteur de ses films et il a aussi été monteur. Je l'ai découvert à l'âge adulte (je pense qu'on l'apprécie mieux), et je ne me rappelle pas avoir entendu dire de l'un ou l'autre de ses films qu'il n'était pas intéressant ou même qu'il était nul. C'est vrai qu'il a relativement peu tourné durant sa carrière, 13 films en 45 ans de carrière. Ce qui me plaît c'est son sens du cadrage, on voit qu'il a été photographe avant d'être réalisateur. Je retiens de ses mises en scènes les travellings arrière, dans Barry Lyndon (1975) ou les Sentiers de la Gloire (1957) par exemple, qui donnent de la profondeur de champ. Est-ce qu'on peut parler d'unité de son oeuvre? A chaque film, il passait à autre chose. Il a abordé tous les genres: le policier, le film en costume, le film d'anticipation, le film de guerre, le film d'angoisse, etc. En tout cas, chaque sortie de film de Kubrick était l'événement de l'année voire de la décennie. Le cinéma de Kubrick est beau, intelligent et jamais ennuyeux. Il a permis à des acteurs comme Peter Sellers, Malcolm Mc Dowell ou Ryan O'Neal de montrer leur talent. En ce qui me concerne, j'ai une petite préférence pour 2001 L'Odyssée de l'espace (1968) (même si je n'ai pas compris la fin), Barry Lyndon (d'une beauté à couper le souffle), Full Metal Jacket (1987) (pour la 1ère partie absolument magistrale), Shining (1980) (pour Jack Nicholson). Kubrick n'a jamais reçu l'Oscar du meilleur réalisateur.

17 décembre 2007

Cow-Boy - Bruno Mariage

Cow-Boy est le premier film que je vois de Bruno Mariage (réalisateur des Convoyeurs attendent). On est tout de suite frappé par l'accent prononcé quand les acteurs disent leur texte. Nous sommes bien en Belgique. Benoît Poelvoorde est le personnage principal. Il interprète le rôle de Daniel Piron qui exerce le métier de journaliste. Quand le film commence, on voit qu'il n'est pas satisfait par son métier. Il a l'idée de retrouver les protagonistes d'une prise d'otages dans un bus scolaire, 25 ans auparavant. Voulant faire une reconstitution à l'identique, après avoir réuni une partie des otages, écoliers à l'époque, il met la main sur le bus et son chauffeur. Ce dernier ne s'est jamais remis de ce traumatisme. Le preneur d'otage, Tony Sacchi (Gilbert Melki), est devenu un gigolo de troisième zone pour entretenir sa famille. Pour se prêter à ce simulacre, il demande même à se faire payer. Afin de mener à bien son tournage, la production adjoint à Daniel Piron un caméraman et un preneur de son pas vraiment performants. Daniel Piron les traite de "gugusses". C'est tout dire. Pendant le tournage, rien n'ira comme prévu. Le fiasco est total. Côté vie privée, le journaliste a du mouron à se faire: sa femme (Julie Depardieu) voudrait bien un enfant mais lui ne sent pas prêt. Le film n'est pas drôle mais au contraire il dégage une impresssion de tristesse et de désenchantement. Et autant Gilbert Melki ne m'a pas convaincue (il détonne au milieu des autres), autant Benoît Poelvoorde, avec son air de chien battu, est excessivement touchant. Rien que pour lui, je vous conseille ce film.

16 décembre 2007

Suite à It's a free world... - Questions / Réponses à Ken Loach

Suite à mon billet du 15/12/07, j'ai trouvé intéressant de faire un résumé sur la séance questions / réponses avec le réalisateur qui a suivi la projection du film It's a free world... (très applaudi). Ken Loach a répondu avec une grande simplicité, pendant presque une demi-heure, aux quelques questions posées (6 ou 7). Ne parlant pas le français, ses réponses étaient traduites. En préambule, je dirais que ceux qui ont posé les questions n'étaient pas forcément les plus enthousiastes après avoir vu le film : peut-être le traitement du sujet a-t-il gêné? La preuve en est qu'une jeune femme, trouvant que la vision de Ken Loach était pessimiste sur le monde du travail, a demandé pourquoi choisir une femme pour incarner le personnage principal. Ken Loach a répondu que c'était l'originalité du film, il a montré que les femmes étaient aussi capables que les hommes de faire ce travail et d'avoir cette attitude de personne sans état d'âme. Il a évoqué Margaret Thatcher pour la dureté dans son comportement. Suite à une autre question, à savoir pourquoi raconter l'histoire du point de vue des exploiteurs, et non des exploités, Ken Loach a redit que c'était justement une autre façon originale de traiter ce sujet. D'ailleurs, pour trouver des sujets de films, il travaille en étroite collaboration avec son scénariste Paul Laverty (qui vit à Madrid). Ils ont l'habitude de se parler longuement au téléphone. Et Ken Loach lit régulièrement les journaux. En ce qui concerne It's a free world..., il a étudié de nombreux témoignages. On a senti que Ken Loach est désabusé sur le parti actuellement au pouvoir en Grande-Bretagne. Il dit qu'il faut changer le gouvernement. Dans une dernière question, on lui a demandé s'il allait au cinéma, et quel genre de film il aimait voir. Il n'a pas répondu en détail, mais le dernier film français qu'il avait vu était La Graine et le Mulet. Je dirais que ce genre de séance questions / réponses entre un cinéaste et des spectateurs est intéressante et enrichissante. Il devrait y en avoir plus souvent. Merci M. Loach. Comme je l'ai déjà dit : allez voir le film, on ne l'oublie pas.

15 décembre 2007

It's a free world... - Ken Loach

J'ai vu It's a free world... [les points de suspension sont significatifs dans le titre] lors d'une avant-première à Paris au cours de laquelle Ken Loach a gentiment accepté de répondre aux questions des spectateurs à l'issue de la projection (je reviendrai sur cette séance de questions-réponses dans un prochain billet). La sortie d'It's a free world... est prévue en France le 02/01/08. Il s'agit d'un film dans la lignée de Sweet sixteen ou Carla's Song. Après le Vent se lève, Ken Loach revient à un sujet contemporain en Grande-Bretagne et il met le doigt là où ça fait mal. L'héroïne de son film, Angie, mère divorcée d'un gamin d'une dizaine d'années, est jouée par une inconnue, Kriston Wareing. Angie, après avoir été renvoyée de son travail (car, harcelée sexuellement, elle s'était rebellée), a décidé de se mettre à son compte en créant une agence d'intérim. Grâce à l'aide d'une co-locataire qui l'aide comme comptable, elle fait du recrutement pour des entreprises ou des usines. D'exploitée, elle devient exploiteuse. Elle engage des clandestins arrivés sur le sol anglais avec un visa touristique ou étudiant. La plupart viennent d'Europe de l'Est, Pologne et Ukraine ainsi que d'Iran ou d'Irak. Avocats, médecins ou enseignants, ils travaillent comme simples manoeuvres. Ils sont logés dans des habitations insalubres. Pour certains, elle sous-loue, cher, une grande maison achetée à crédit. Elle arrive par ce biais à récupérer beaucoup d'argent liquide. Mais si ces loyers sont bien payés, en revanche, les patrons des entreprises qui emploient les intérimaires ne versent pas le montant des salaires promis. Comme elle sert d'intermédiaire, les salariés se retournent contre elle. Elle reçoit des menaces, des coups. On la croit à terre mais c'est pour mieux se relever. Elle se met à dos ses parents (qui élèvent le petit-fils), son associée, mais rien n'y fait. Elle continue à exploiter les sans-papiers (pour certains, elle arrive même à leur faire avoir des passeports). Quand le film se termine, elle est partie en Ukraine pour recruter d'autres "intérimaires". Je ne sais pas s'il faut aimer ou détester Angie, elle est terrible mais avec une énergie incroyable. Elle n'a aucun état d'âme. Elle veut seulement gagner suffisamment d'argent pour vivre dans "un monde libre". Quand on lui demande pourquoi elle agit comme ça, elle répond qu'elle n'est pas toute seule à le faire. Ce film pose beaucoup de questions sur le devenir du monde du travail en Occident et en particulier la précarité, les salaires de misère, les conditions de travail et pas seulement en Angleterre. Cela n'est pas rassurant. A la réflexion, je recommande fortement ce film magnifiquement porté par l'actrice principale.

14 décembre 2007

Lumière silencieuse - Carlos Reygadas

Lumière silencieuse de Carlos Reygadas peut décontenancer certains spectateurs. En ce qui me concerne, c'est le premier film que je vois de ce réalisateur. Tout commence par une nuit noire étoilée puis le soleil qui se lève sur un paysage non défini avec quelques arbres et des cris d'animaux. Tout finit (à la fin du film) par un soleil couchant puis une nuit étoilée avec le même fond sonore. Et au milieu coule l'histoire.
Dans une grande exploitation agricole, un couple, Johan et Esther, et leurs 6 enfants, tous plus blonds les uns que les autres, font une prière avant de prendre le petit-déjeuner en silence. Puis le maître de maison, resté seul, se met à pleurer à chaudes larmes. On apprend qu'il est tombé amoureux d'une autre femme appelée Marianne et dans leur communauté c'est impensable. En effet, nous sommes au Mexique, dans la communauté mennonite, une population qui descend d'européens immigrés. Etrangement, Marianne et Esther se ressemblent physiquement : nez aquilin et visage en longueur. Elles ne sont pas vraiment belles mais il émane quelque chose de particulier de leur personne.
Johan a un père pasteur à qui il demande conseil, mais ce dernier ne peut rien faire pour lui sur le dilemme de quitter ou non sa femme (qui l'aime encore) pour aller vivre avec une autre.
J'ai été très intriguée pendant tout le film par la langue que parlent les acteurs. J'ai appris qu'ils utilisaient un dialecte proche du néerlandais médiéval. Au cours de cette histoire vient se glisser un élément incongru : Jacques Brel qui chante "Les bonbons" à la télé. Cet interlude fait du bien. Car après, Esther meurt subitement sous une pluie battante. On assiste à la veillée funèbre et est-ce un rêve ou la réalité, Esther ressuscite en présence de Marianne. Elle lui parle. Ce miracle religieux peut paraître sublime mais personnellement je n'ai pas été touchée par la grâce. Le film est un peu trop contemplatif à mon goût. Les comédiens non-professionnels sont tous excellents.

13 décembre 2007

Nous les vivants - Roy Andersson

Après réflexion, j'ai décidé de faire un billet séparé pour Nous les vivants de Roy Andersson : film iconoclaste qui ne raconte pas une histoire, mais où l'on assiste à un enchaînement de saynètes sans début, ni fin, des instants de vie baignés parfois dans le brouillard suédois mais qui laissent perplexe. Je n'ai pas ri mais je n'ai pas été émue non plus. Je me demande ce que le réalisateur veut nous dire à part que la condition humaine est à la fois tragique et comique. Tous les décors sont dans les tons beige et vert qui donnent à l'ensemble un sentiment de claustrophobie et de tristesse infinie. Je retiens la très belle scène vers la fin du film (digne de E la nave va de Fellini) où une grande maison à un ou deux étages, occupée par deux jeunes mariés, quitte un quai comme si elle était sur des rails. Des gens lancent des "viva" à ce départ. Cette scène est inoubliable. Le reste est déjà presque sorti de ma mémoire à part la dame grassouillette, coiffée d'un casque à pointe, en train de faire l'amour pendant que son partenaire parle de ses placements financiers. Je crois que j'achèterai le film quand il sortira en DVD pour revoir (et pourquoi pas apprécier) certaines séquences.

12 décembre 2007

L'histoire de l'amour - Nicole Krauss

Encore un livre qui faisait partie de ma PAL depuis un an (voir mon billet du 24/10/07)! J'ai lu en un jour avec un immense plaisir L'histoire de l'amour de Nicole Krauss (Ed. Gallimard), roman de 356 pages. C'est le premier roman traduit en français de cette écrivaine américaine qui, jusqu'à présent, a surtout écrit pour l'hebdomadaire The New Yorker. Le roman se compose de trois histoires dont le point commun est un manuscrit écrit d'abord en yiddish, puis traduit en espagnol et enfin retraduit en anglais appelé L'histoire de l'amour. Une jeune fille de 15 ans, Alma Singer, et un juif polonais émigré à New York au moment de la seconde Guerre Mondiale, sont les héros et narrateurs des deux premiers récits qui s'entrecroisent avec la 3ème histoire dont le personnage principal est un Polonais émigré au Chili. Le roman évoque la Shoah et les bouleversements que cela a provoqués. Le récit, l'histoire de l'amour, écrit par un des protagonistes, sera publié par un autre en se l'appropriant à la suite d'un concours de circonstances. Tout la structure du récit est limpide. Chaque récit est reconnaissable par sa structure. Celui d'Alma, par exemple, se compose de mini chapitres. Quand on a refermé le livre, on se dit que l'on aimerait bien rencontrer "pour de vrai" tous ces personnages très attachants. Un très grand roman.

11 décembre 2007

Un baiser s'il vous plaît - Emmanuel Mouret

Dans une même soirée, après avoir vu Cow-Boy (que je chroniquerai plus tard), j'ai assisté à l'avant-première d'Un baiser s'il vous plaît d'Emmanuel Mouret, réalisateur et scénariste, qui était présent ainsi que les trois actrices du film (Virginie Ledoyen, Frédérique Bel et Julie Gayet). Je commence donc par Un baiser s'il vous plaît (qui sort mercredi 12 décembre 2007), suite à une demande insistante de mon ami. Je crois qu'il aime le titre...
Après Changement d'adresse du même réalisateur (et que j'avais beaucoup aimé), j'ai été un tout petit peu déçue par celui-ci. C'est moins ludique, moins aérien. Virginie Ledoyen n'est pas très à l'aise dans l'univers de ce cinéaste, elle récite trop son texte. Les dialogues, écrits dans une langue que l'on ne parle pas dans la vie de tous les jours, ne lui facilitent pas la tâche. En revanche, quel bonheur de revoir Frédérique Bel (remarquée dans Changement d'adresse), elle donne du piquant à ce film que l'on pourrait sous-titrer "On ne badine pas avec l'amour" - non, je veux dire, en fait, "On ne badine pas avec un baiser". En effet, le fait d'échanger un baiser entre deux personnes fait voler en éclats, et un mariage, et une liaison amoureuse. A la fin du film, la scène du baiser entre Julie Gayet et Mikael Cohen est une des plus belles que j'ai vue depuis longtemps. La musique du film tirée d'oeuvres classiques très connues donne du charme à l'ensemble. Emmanuel Mouret, avant la projection, a déclaré tout simplement qu'il avait été content d'écrire et de réaliser Un baiser s'il vous plaît avec ces trois actrices. Le film a été très applaudi à la fin.

10 décembre 2007

Ce que mes yeux ont vu - Laurent de Bartillat

Pour ceux qui aiment les énigmes sans meurtre ni violence, je recommande Ce que mes yeux ont vu, premier film de Laurent de Bartillat. L'histoire se passe dans le monde de l'art et tourne autour du peintre Jean-Antoine Watteau, célèbre pour le "Gilles" exposé au musée du Louvre. Au début du film, de nos jours, Lucie (Sylvie Testud), fille d'une actrice, fait un exposé suite à des recherches qu'elle effectue sur ce peintre du XVIIIème. Elle s'intéresse plus particulièrement à la peinture appelée "l'Enseigne Gersaint" qui représente un salon tapissé de peintures de grands maîtres de l'époque à l'exception d'un seul...
Pourquoi Watteau a-t-il peint une femme vue de dos ? Il semble avoir été fasciné par le monde du théâtre. Une actrice de l'époque a certainement été le grand amour de sa vie qui conserve quelques pans de mystère. Lucie cherche à savoir qui elle est. L'exposé de Lucie intéresse un certain Dussart (Jean-Pierre Marielle), spécialiste de renommée mondiale du peintre Watteau. Après l'avoir encouragée dans ses recherches, il fait tout pour la faire abandonner sans raisons apparentes.  Néanmoins, elle ne renonce pas. Au contraire, elle découvre l'identité de l'actrice et fait une très belle découverte  qui a un rapport avec des tableaux repeints l'un sur l'autre.
A part ça, j'émettrai une petite réserve sur l'histoire annexe avec James Thierrée qui joue un sourd-muet. A mon avis, cela n'ajoute rien au film et tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Pour vous faire votre propre opinion, allez voir ce film qui m'a passionnée.

9 décembre 2007

Lessivée par Blogger

Petit coup de gueule suite à une récente modification de l'enregistrement des commentaires sur les plates-formes over-blog et blogspot.
Jusqu'à tout récemment, lorsque je commentais des billets sur des blogs de ces plates-formes (où se trouvent 14 de mes "fidèles", une quinzaine d'autres blogueurs venus mettre au moins un commentaire chez moi, et d'autres que je visite), pour commenter, il suffisait de cliquer sur "autre" et on inscrivait son pseudo ainsi que son site web (lien automatique).
Maintenant (je m'en suis aperçue dimanche 2 décembre), il est seulement possible d'écrire, sous "pseudonyme", son pseudo, et je suis obligée de penser à indiquer mon adresse de blog en corps du commentaire (sans que le lien fonctionne, bien entendu!). J'ai même essayé de me créer un compte "blogger", mais ça ne suffit pas, il faudrait que je m'y crée un blog (encore!). Je déteste les systèmes "propriétaires" et exclusifs!

8 décembre 2007

Films vus non commentés depuis le 31 octobre 2007

Mon ami m'a demandé comment et sur quels critères je décidais de faire un billet sur un film, ou bien de le mentionner simplement avec 3 ou 4 autres (comme ci-après, dans la lignée de mon billet du 31/10/07). Je n'ai pas de raison particulière qui me vient à l'esprit. Peut-être que, pour tel ou tel film traité en 3 lignes, j'aurais pu me forcer à en écrire davantage, si je n'avais eu aucun autre sujet d'avance. Mais je préfère consacrer un billet à ceux qui m'ont vraiment plu. Bien sûr, il est parfois arrivé (faute de mieux!) que je fasse une chronique complète sur un film qui m'a déplu, ou même auquel je suis restée indifférente.
Sur les quatre d'aujourd'hui, 3 sont bien ou très bien et 1 m'a laissée perplexe. Mais je n'ai pas envie de me casser la tête à en raconter l'histoire.

Le Royaume de Peter Berg avec Jamie Foxx et Chris Cooper. Bon film d'action et pour une fois les Américains ne sont pas les rois du monde. Suite à un attentat en Irak (des centaines de civils américains s'étant fait mitrailler et exploser), un groupe de 5 Américains du FBI sont envoyés en mission pour découvrir le ou les coupable(s). Les scènes de fusillades sont spectaculaires. Regardable car on ne s'ennuie pas une seconde.

La France de Serge Bozon: Objet Cinématographique Non Identifié. Il y a Sylvie Testud déguisée en garçon pour partir à la recherche de son mari pendant la Guerre de 14-18. Elle croise le chemin d'un groupe de 10 hommes qui se trouvent être des déserteurs essayant de fuir la France pour se réfugier aux Pays-Bas. A quatre reprises, des chansons sont jouées et interprétées par les acteurs. Cela paraît saugrenu. Je n'ai pas compris le message du film, parce que je pense qu'il y en a un (?).

Once de John Carney: si vous aimez la musique et les chansons du film (ce qui est mon cas), interprétées par les deux acteurs principaux (touchants) même si Once n'est pas un film musical, il est très plaisant à regarder et à écouter. Sinon passez votre chemin.

Agent double
de Billy Ray avec un face-à-face entre Chris Cooper et Ryan Philippe. Chris Cooper interprète Robert Hanssen, personnage réel,
agent du FBI et une "pointure" en informatique, qui, pendant 25 ans, a trahi les Etats-Unis en vendant des renseignements aux Russes. Le film est très classique, sans courses-poursuites effrénées mais avec beaucoup de psychologie. Très bien.

7 décembre 2007

Représentations de petites catégories (sans commentaires)

Cette «compilation» parachève mon retour sur mes billets «sans commentaires» par les catégories les moins représentées sur mon blog (cf. mon précédent billet du 16/11/2007).
Petite satisfaction: tous ceux de la catégorie «Réalisateurs» ont été abondamment commentés. Et, fort heureusement, tous ne consistent pas en hommages après décès. Par contre, pratiquement tous les billets sur le théâtre (ceux ci-dessous) n’ont eu aucun succès. Peut-être est-ce une question de public, soit sur ce blog, soit en général (la sortie au théâtre est bien plus onéreuse qu’une place de cinéma)?

Acteurs/Actrices
Cécile de France - Marion Cotillard (15 mars 2007)

Laurel et Hardy (26 mai 2007)
Jean-Claude Brialy (1er juin 2007)

Télévision
Théâtre filmé (29 janvier 2007)

Les Mystères de l'Ouest - Série TV (6 février 2007)
Suspect n°1 avec Helen Mirren (6 avril 2007) (1)

Théâtre
L'affaire de la rue de Lourcine - Eugène Labiche - mise en scène Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff (18 mars 2007)

Délit de Fuite - Jean-Claude Islert (8 mai 2007)
La Tempête - William Shakespeare (mise en scène Dominique Pitoiset) (11 mai 2007) (1)
Les temps difficiles - Edouard Bourdet (4 juin 2007)
Mars et Vénus au théâtre (14 novembre 2007)

(1) Commentaire suscité par le présent billet durant le mois où il est resté en page d’accueil de mon blog.

6 décembre 2007

La nuit nous appartient - James Gray

Après les excellents Little Odessa (1994) et The Yards (2000) qui se passaient déjà dans la population d'origine Russe à New York, La nuit nous appartient (We Own the Night) de James Gray nous captive dès le début. Deux frères, l'un flic, Joseph (Joe) (Mark Whalberg)(1), et l'autre tenancier d'une boîte de nuit, Robert (Bob) (Joaquim Phoenix) (1), ont un père, flic aussi, Albert (Bert) (Robert Duvall). Robert semble le "vilain petit canard" de la famille. Il fréquente des Russes qui le protègent en ignorant le fait qu'il soit fils et frère de policier. En effet, ces Russes se trouvent (sous des airs respectables) être organisateurs d'un vaste trafic de drogue. D'ailleurs la façon d'importer la drogue est plutôt originale (allez voir le film pour la découvrir). Après Les Promesses de l'ombre de David Cronenberg (voir mon billet du 11/11/07), la Mafia russe est si je puis dire sous les feux des projecteurs. Un tragique événement fait prendre à Robert une décision radicale. Il devient flic à son tour et trahit en quelque sorte les personnes qu'il croyait être ses amis. L'histoire se passe en automne ou en hiver donnant un air lugubre à l'ensemble. Une course-poursuite d'anthologie est filmée à travers les vitres des voitures et sous un rideau de pluie. Tous les comédiens sont remarquables, Joaquin Phoenix en tête, qui fait d'ailleurs partie de la distribution du prochain James Gray en cours de tournage (Two Lovers).

(1) Merci à Bertrand (voir son commentaire ci-dessous) de m'avoir fait remarquer un quiproquo que je viens de rectifier. Contrairement à ce que j'avais écrit au départ, Joseph est le flic et Robert est le tenancier de boîte de nuit.

5 décembre 2007

Bijoux de la comédie américaine (4)

Comme après toute bonne trilogie, voici le 4ème épisode et peut-être pas le dernier (et, non, ce n'est pas pour l'argent!).
Je viens de revoir en DVD avec mon ami (qui ne connaissait pas) Frankie et Johnny (1991), de Garry Marshall, le réalisateur de Pretty Woman (1990). Interprétée par Al Pacino (Johnny) et Michelle Pfeiffer (Frankie), cette histoire fait du bien au moral. C'est un film tendre, un véritable conte qui finit bien. Comme les trois "bijoux" (films) précédents, cela se passe encore à New-York, dans un "coffee shop" (au sens anglo-saxon!). Johnny qui vient de sortir après 18 mois de prison pour un chèque falsifié se fait engager comme cuistot à l'Apollo situé dans la 9ème avenue de New-York. C'est aussi cela l'Amérique, on a droit à une deuxième chance. Tous les membres du personnel forment une famille. L'ambiance est chaleureuse. Peu de temps après que Johnny soit embauché, une des serveuses décède et seules ses collègues assistent à la cérémonie religieuse. C'était toute sa famille. Les clients du "coffee shop" sont des habitués. Parmi les autres serveuses, Johnny remarque Frankie qui a vécu un drame personnel douloureux. Elle n'est pas prête à s'engager dans une nouvelle aventure sentimentale à moins que... En revanche, elle a un voisin homosexuel (Nathan Lane) qui lui sert de confident et cela donne lieu à des scènes savoureuses. Ce film, adapté d'une pièce de théâtre, n'a d'autre ambition que de distraire, et bien la réussite est totale.

4 décembre 2007

Le roi des Juifs - Nick Tosches

Paru en 2006 aux Editions Albin Michel, Le Roi des Juifs est le deuxième roman de Nick Tosches publié en français (après la Main de Dante). Il s'agit d'un roman foisonnant dont le point de départ est un homicide commis sur un homme, Arnold Rothstein, en novembre 1928. Personnage ayant réellement existé, Arnold Rothstein a été, entre autre, banquier de la pègre new-yorkaise dans les années 20. Son Dieu, c'était l'argent qu'il savait admirablement faire fructifier. Ce personnage sert de prétexte à Nick Tosches pour faire des rappels historiques sur l'origine des populations qui ont peuplé la partie sud-est "Lower East Side" de Manhattan. Au 19ème siècle un grand nombre de Juifs d'Europe centrale ont émigré vers les Etats-Unis. La famille d'Arnold Rothstein est issue de cette immigration. Nick Tosches en dresse la généalogie et si nous, lecteurs, on se noie de temps en temps dans cette énumération des membres de cette famille ou dans la description des lieux, lui ne perd jamais le fil de ce qu'il raconte. Si ce n'est qu'il saute souvent du coq à l'âne en évoquant des personnages politiques ou mafieux new-yorkais qu'il égratigne assez durement, dont certains que je ne nommerai pas. En fin de compte, il faut attendre la dernière page pour apprendre que le meurtre n'a jamais été résolu. On ne sait pas qui a tué Arnold Rothstein mais c'est sans importance vu que ce n'est plus vraiment le sujet du livre. Tous les protagonistes qui ont gravité autour d'Arnold, dont son ex-femme, ont disparu sans laisser de traces. Même si, comme je l'ai déjà dit, on se perd un peu dans la description des nombreux personnages (il m'est arrivé de revenir en arrière pour tout bien situer), j'ai pris énormément de plaisir à la lecture de ce roman (le deuxième à tomber des 25 recensés dans ma PAL - voir mon billet du 24/10/07).

3 décembre 2007

Revenir vers une oeuvre au bout de quelques années

Comme je ne pense pas être toute seule dans mon cas, voici quelques réflexions sur le fait que les goûts changent ou évoluent en matière de cinéma, lecture, musique ou que sais-je, au bout d'un certain nombre d'années. Je n'en suis pas à brûler ce que j'ai adoré (j'en connais qui le font), mais j'éprouve une certaine indifférence, ou la passion n'est plus la même. Et inversement, certaines oeuvres que j'avais moyennement aimées à 20 ans, je les ai revues récemment et cela a été une révélation.
C'est peut-être pour cela que je ne relis pas les livres que j'ai aimés. Je les conserve mais j'en lis d'autres (j'en ai tellement à lire...). J'ai fait une exception pour Les Thibault de Roger Martin du Gard (voir mon billet du 20/01/07), chef-d'oeuvre de la littérature française qui m'avait beaucoup marquée en son temps. Je les ai relus en 2006 avec grand plaisir mais j'ai un peu calé sur la fin en sautant quelques pages. Je n'ai pas été aussi enthousiaste.
Quand j'avais 15 ans, les oeuvres de Baudelaire ou Hugo, je ne les ai ni appréciées ni comprises comme à 40 ans.

Pour le cinéma, j'ai vu Noblesse Oblige (Kind Hearts and Coronets) de Robert Hamer (1949), avec Alec Guinness, il y a plus de 25 ans à la télévision. Cela ne m'avait pas plu, je m'étais ennuyée à mourir (c'était un "vieux" film). Depuis, je l'ai acquis en DVD. Je l'ai revu l'année dernière, et encore cette année, et j'ai adoré. C'est absolument génial. Le film est l'incarnation de l'humour "british" (voir mon billet du 19/03/07).
Inversement, j'avais beaucoup aimé l'Appât (The Naked Spur), l'ayant vu il y a plusieurs années au cinéma, dans le cadre d'un cycle Anthony Mann. Je l'ai revu cette année, toujours sur grand écran (j'en parle dans mon billet du 25/11/07 sur quelques westerns en vrac), et bien j'ai été plutôt déçue. Je n'ai pas vraiment accroché.
Entre 1993 et 94, j'ai vu de multiples fois La Leçon de piano de Jane Campion (voir mon billet du 15/05/07). J'étais totalement "obsédée" par ce film. Depuis, je ne l'ai jamais revu et je ne suis pas sûre que je le reverrai. J'ai tourné la page. C'est ma façon de fonctionner. Je n'y peux rien.

2 décembre 2007

Qu'est-ce que cela vous évoque quand on parle de "vieux" films?

Je revenais tranquillement de déjeuner quand tout à coup, je me suis dit: et si je demandais à mes blogueurs fidèles (et aux autres) ce qu'ils pensent du terme "vieux" film? Combien de fois l'ai-je entendu dans les conversations : "Alors ça te dirait d'aller voir un "vieux" film?" ou alors "Tiens, ils donnent encore un "vieux" film ce soir!" Je n'ai jamais entendu le terme "ancien" film par exemple. Pourquoi cet adjectif "vieux" pour qualifier un film "ancien"? Il y a un côté péjoratif dans cet adjectif.
Pour beaucoup, un "vieux" film est une oeuvre réalisée dans un passé plus ou moins proche, selon les générations. Souvent en noir et blanc avec un son crachotant et une image avec des rayures. Mais pour certains "jeunes", un film qui a plus de 10 ans, c'est déjà un "vieux" film. D'autres y englobent tous les films d'un certain âge, aussi bien ceux que l'on appelle des "classiques" que des "navets vénérables". Il est courant d'entendre "Comme ce film a mal vieilli!" ou "... bien vieilli!". Et pourtant, on parle rarement de "vieille" peinture, de "vieille" littérature ou de "vieille" musique. Le cinéma, aussi appelé le 7ème art, apparaît comme un art éphémère alors qu'il a déjà (à peine) plus de 100 ans. Je ne sais pas si c'est un critère, mais combien de "vieux" films ont disparu ?
Dans un de ses commentaires du 26/11/07, un de mes blogueurs fidèles, Karamzin, m'écrit (autodérision?) qu'il parle de "vieux" films. Il faudrait trouver un adjectif moins négatif. N'êtes-vous pas d'accord?

1 décembre 2007

Bijoux de la comédie américaine (3)

Pour finir ma trilogie subjective, "the Last but not least", La Garçonnière (The Apartment) de Billy Wilder (1906-2002), film en noir et blanc de 1960 avec les décors d'Alexandre Trauner, est un chef-d'oeuvre (je ne lésine pas sur le terme). C.C. "Bud" Baxter (Jack Lemmon), employé dans une grande entreprise située dans un building de New-York, est amené à prêter son appartement (sa garçonnière) à des supérieurs hiérarchiques qui lui promettent monts et merveilles, en particulier de l'avancement. Il doit gérer un agenda pour ne pas commettre d'impairs. Et bien évidemment, le pauvre Bud se trouve souvent à la porte dehors, le soir, quand ce n'est pas la nuit, pendant que ses "chefs" prennent du bon temps avec des représentantes du sexe féminin. Et on ne peut pas dire qu'il en soit remercié. Dans cette société, les ascenseurs jouent un certain rôle grâce à une liftière, Fran Kubelik (Shirley Mc Laine). Cette charmante jeune femme va croiser de plus en plus le chemin de Bud. Je ne dévoilerai pas la fin que tout le monde devinera peut-être. Mais avant d'y arriver, on aura pu admirer la superbe mécanique bien huilée du scénario et la mise en scène à la hauteur de Billy Wilder. Un classique à voir et à revoir. On ne s'en lasse pas.
J'ai choisi ces trois films sans raison particulière (mais les ai rangés dans un certain ordre), les trois histoires se passent à New-York, ville que j'adore, et j'aime beaucoup tous les acteurs. Ces films sont sans prétention et ne sont là que pour distraire.

30 novembre 2007

Bijoux de la comédie américaine (2)

Et oui, c'est Confidences sur l'oreiller (Pillow Talk, 1959), de Michael Gordon, qui est mon sujet du jour. A New York, dans un immeuble d'habitation, un homme, Brad Allen (Rock Hudson), et une femme, Jan Morrow (Doris Day), partagent une même ligne de téléphone comme cela pouvait se faire à l'époque. Comme Brad a de nombreuses conquêtes, les appels sont nombreux et ils durent longtemps, dépassant le temps imparti convenu entre les deux abonnés. Jan, qui cherche désespérément l'âme soeur, n'est pas contente, et très souvent ses rares appels se trouvent parasités par ceux de Brad. On sent une hostilité entre les deux renforcée par le fait que Brad et Jan ne se sont jamais réellement rencontrés jusqu'à ce que... (je vous laisse la surprise).
Comédie très agréable à voir avec le duel entre Rock Hudson et Doris Day, Tony Randall comptant les points, et une chanson de générique dont vous vous souvenez bien après avoir vu le film.
Demain, je ferai mon troisième et dernier billet (de cette mini-série "bijoux"!) sur une comédie réalisée par un metteur en scène mort presque centenaire.

29 novembre 2007

Bijoux de la comédie américaine (1)

J'ai décidé de faire trois billets d'affilée sur des comédies vues en DVD.
Je commence par
L'adorable voisine (Bell, Book and Candle) de Richard Quine, où l'on apprend que les sorciers existaient avant "Harry Potter" et "Ma sorcière bien aimée". Tourné la même année (1958) que Sueurs Froides (Vertigo) d'Alfred Hitchcock, ce film reforme le couple Kim Novak / James Stewart. Jack Lemmon, Elsa Lanchester (Mme Charles Laughton à la ville) et Philippe Clay (dans un petit rôle musical) complètent la distribution de cette oeuvre délicieuse qui se passe à New-York. Gill (Kim Novak), qui tient un magasin de sculptures et masques africains, a comme voisin Shep Henderson (James Stewart). Le compagnon de Gill est un chat siamois appelé Pyewacket. Elle ne peut ni tomber amoureuse, ni rougir, ni pleurer, car elle est sorcière. Elle aimerait bien séduire Shep sans se servir de sortilèges. Toutefois, apprenant qu'il va se marier, elle se sert de son quadrupède pour ensorceler Shep, allergique aux poils de chat. La fiancée, ancienne camarade de classe de Gill, passe un mauvais quart d'heure dans une "boîte à jazz" appelée "le Zodiaque", repaire de tous les sorciers de New-York. Nicky, le frère de Gill (Jack Lemmon), y joue du "tam tam", et Philippe Clay y chante. Ce qui doit arriver, arrive: Shep tombe amoureux de Gill mais rien n'est simple pour une sorcière qui, elle, ne peut pas aimer. Là, bien sûr, je ne vous raconterai pas la fin. Kim Novak avec sa belle voix grave est absolument charmante. James Stewart est impeccable, comme d'habitude. Les sortilèges sont lumineux ou sont utilisés pour ouvrir des portes. Jack Lemmon, en jeune sorcier tout fou, est touchant et le tout dégage un charme indéniable à nul autre pareil.
Demain, j'évoquerai un film de Michael Gordon.

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