lundi 20 décembre 2021

Revue Epsiloon (créée en 2021)

Après une interruption de plus de trois mois (l'automne, les jours qui diminuent, tout ça...), je (ta d loi du cine, "squatter" chez dasola) tâche de reprendre la rédaction de mes billets "Challenge de la planète Mars", avec cette fois-ci une chronique un peu particulière.

Tout d'abord, merci à Mamaragan (blog l'Arène d'airain) qui a signalé sur la page du Challenge un intéressant billet. Ensuite, encore une fois un grand merci à Pativore (qui a créé le logo du Challenge). Car c'est sur son blog à elle que j'avais pris conscience (sinon connaissance) de la parution de la revue Epsiloon, lancée en 2021. La rédaction de cette jeune revue est constituée d'"anciens" de  Sciences & Vie, qui ont quitté ce dernier journal par suite de désaccords éditoriaux avec le groupe Reworld Media. Ce dernier a racheté durant l'été 2019 ce vénérable titre (S&V) avec ceux du groupe Mondadori France (j'avais sans doute vu passer quelques communiqués de presse à l'époque, mais sans suivre le dossier...). Le premier numéro de la nouvelle revue (Epsiloon) est sorti cet été (daté de juillet 2021), mais je ne l'ai pas acheté à l'époque où il était disponible en kiosque.

Quel rapport avec la planète Mars, me direz-vous? J'y arrive.

Epsiloon se présente sous la forme d'une revue mensuelle de 100 pages, au format plus carré qu'allongé, et vendue 4,90 euros. Cherchant à rendre compte de l'actualité scientifique, les journalistes "conteurs de science" ont réussi à citer la planète Mars dans chaque numéro, à ma connaissance. Dans le numéro 6 (décembre 2021), la page 14-15 publie, un peu recadrée, une photo de trois cratères martiens prise par la sonde européenne Exomars au printemps dernier. 

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Dans le numéro 5 (novembre 2021), une brève nous informait que Mars avait connu des méga-erruptions volcaniques... il y a 4 milliards d'années (sans doute). Et citait juste le nom de la planète dans un article décrivant la "famille" des astres.

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Le numéro 4 (octobre) "analysait" que le retour sur la Lune annoncé en 2024 dès 2019 par Donald Trump a pour véritable objectif un voyage humain vers Mars, chose à peine mentionnée dans le N°3 (p.45). Dans le numéro 2 daté d'août 2021, il fallait attendre la p.93 pour une "idée neuve": coloniser Mars avec des cerf-volants. 

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Comme dit plus haut, je n'avais pu me procurer en kiosque le N°1, déjà épuisé le 14 août (mais dont il paraît qu'on le trouvait encore à Ajaccio à cette date?). J'ai pu cependant en prendre connaissance, et je sais donc qu'un article (p.38) y était titré "Quand Mars devient un terrain de rivalité" (entre la Chine, les Emirats arabes unis, l'Inde, les Etats-Unis et l'Union soviétique).

Mais mis à part ces aspects martiens, quelques mots plus généraux sur la revue. 

La création de ce nouveau titre de presse conte une histoire sympathique par bien des aspects. C'est une levée de fonds auprès du public, via Ulule, qui avait rassemblé 24 236 contributeurs pour de la prévente ou de l'abonnement: un bon moyen d'assurer la promotion du (futur) titre et de vérifier l'intérêt des futurs lecteurs! La page Epsiloon sur Wikipedia (consultée le 19/12/2021) contient des détails et des liens pour en savoir davantage sur cette aventure. 

Les plus militants des lecteurs potentiels regretteront peut-être qu'il ne s'agisse pas d'une SCOP de presse comme Alternative Economiques par exemple, ni d'un journal véritablement "engagé".

J'ai relevé avec intérêt, en fin d'article 5 de la Charte éditoriale d'Epsiloon (9 juin 2021), que la Rédaction "s’engage à ne pas se cantonner aux modèles de pensée dominante et à traiter de points de vue innovants ou originaux, sous réserve qu’ils soient étayés par des arguments scientifiques robustes." Mais ce souhait ne risque-t-il pas d'entrer en conflit avec la troisième phrase de l'article 3, qui dit "Ils ont également collectivement la charge d’assurer dans la mesure du possible la réussite financière du Titre, suivant les meilleurs standards de rentabilité, qui sera le gage de son indépendance, de sa pérennité, et de la rémunération de la Rédaction, des Dirigeants et des Actionnaires, mais aussi de l’assurance de pouvoir réaliser les investissements nécessaires pour assurer son avenir."?

Ce que, à titre personnel, j'attends du journaliste, et notamment du journaliste spécialisé: c'est, d'abord, de ne pas se contenter de résumer des communiqués ou des dossiers de presse et autres "fils d'agence", en se dépêchant de publier sur des sujets à la mode, ceux dont parlent tous les confrères. De ne pas faire du "placement de produits", bien sûr. Et, plus généralement, de croiser les informations et de varier les informateurs et les "experts" interrogés (autant que possible), d'être force de proposition pour des sujets, et de les suivre sur le long terme. 

J'ai appris pas mal de choses dans ces centaines de pages lues au fil des mois, sur des sujets bien variés (histoire, astronomie, ... covid-19, etc.). Au bout de cinq numéros lus, j'ai tout de même un léger a-priori sur le fait que ce journal peut avoir tendance à donner le point de vue "majoritaire" (dans le monde de l'industrie ou de l'entreprise), en tout cas à mettre seulement sur le même plan des opinions "pour" et "contre". Par exemple, dans le numéro 6 de décembre, quand il est question du "mur de rendement" du "bio", c'est davantage du bio "labelisé" (le bio industriel, à cahier des charges et obligations de moyens, orienté vers la vente en grande surface dans une approche "business") qu'il est question, plutôt que de la "bio-dynamie" ou des fermes en "bio holistique" (en polyculture-élevage...) ciblant les circuits courts. Et parler "contre" le bio, n'est-ce pas objectivement avantager l'agriculture "raisonnée" ou même "conventionnelle"? Epsiloon laisse au lecteur le monopole de l’engagement et de l’opinion... et ne s'en cache pas. Bref, nous voici bien loin de Mars encore!

Début septembre 2021, un échange de mail avec le service commercial m'avait informé qu'on devrait pouvoir se procurer les numéros en ligne d'ici la fin du mois. Je ne suis pas certain que cela ait bien été le cas fin septembre, mais, à ce jour (deuxième moitié de décembre), la vente au numéro sur leur site internet cible tous les numéros parus (précaution est prise de préciser "dans la limite des stocks disponibles"). Je continuerai en tout cas à lire les prochains numéros, même si je ne suis pas dans une démarche d'abonnement.

Je termine avec les liens vers les articles de Pativore sur les numéro 1 et numéro 2. Et, tout de même, le lien vers le site-vitrine de la revue Epsiloon!

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mercredi 26 octobre 2016

Pariscope a cessé de paraître (13 octobre 1965 - 19 octobre 2016)

Décidément, l'année 2016 restera une année noire pour le monde du spectacle. Ce mercredi 26 octobre 2016, Pariscope ne sera pas en kiosque. Il vient de cesser de paraître après 50 ans de bons et loyaux services au service des Parisiens et banlieusards qui s'y référaient pour leurs sorties cinés, théâtres, musées, expos, etc. Moi, je l'achetais depuis plus de 30 ans. C'est un des titres qui ont été sacrifiés à partir de 2013 par un grand groupe de presse (c'était un titre pas assez rentable) et qui n'a pas trouvé de repreneur. De 40 cents, son prix était passé à 1,90 euro (!) pour ses trois derniers numéros. Le "rival" de Pariscope, L'Officiel des spectacles, existe toujours mais jusqu'à quand? Son prix de vente a lui aussi été revu à la hausse: 1 euro au lieu de 70 cents, après avoir coûté 35 cents pendant des années. Je vais désormais me rabattre sur l'achat de L'Officiel mais Pariscope va beaucoup me manquer (j'avais chroniqué leurs différences ici).

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dimanche 7 août 2011

Magazines mensuels de cinéma

En cette période estivale où les sorties cinéma sont peu engageantes, j'en profite pour publier un billet sur les magazines de cinéma. Il est loin le temps où les publications mensuelles sur ce thème abondaient. J'en achetais certaines tous les mois comme Première et plus tard Studio (qui était une revue avec du beau papier et des photos réussies). J'ai été abonnée un temps aux Cahiers du cinéma même si ma sensibilité est plus Positif.
J'ai connu la revue Cinématographe (que j'achetais de temps en temps en fonction des sujets traités), l'éphémère La revue du Cinéphage et la création de Ciné Live et Brazil (revue intéressante qui mérite d'être connue).

Au jour d'aujourd'hui, sauf erreur de ma part, seuls subsistent Les Cahiers, Positif (qui est devenue une belle revue très chère et donc pas à la portée de toutes les bourses), Première (qui n'est plus aussi attrayante que celle de ma jeunesse), Brazil ainsi que Studio/Cine Live (fusion des deux revues déjà mentionnées). J'ajouterai une revue, Jeune Cinéma, dans laquelle récemment Jul a publié 2 articles.

Voici quelques couvertures de ces revues (que j'ai gardées), retrouvées pendant mon déménagement.

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P1020439 Pendant un temps, il y a eu une édition américaine de Première qui était très bien.

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Personnellement, je les lis (ou les parcours) avec moins d'enthousiasme qu'avant. Mes goûts ont changé semble-t-il. Et vous, qu'en est-il? Lisez-vous ce genre de revues? En connaissez-vous d'autres?

PS du 06/09/2011: un des premiers billets de ce blog avait déjà été rédigé sur les magazines de cinéma.

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lundi 13 décembre 2010

Agatha Christie - Un numéro Hors-série du magazine Lire

Une fois n'est pas coutume, je vais évoquer le numéro hors-série de la revue Lire, comportant plus de 90 pages consacrée à Agatha Christie, et qui sort l'année du 120ème anniversaire de sa naissance. Je l'ai lu pendant les trois heures qu'a duré mon voyage de retour entre Limoges (où je me rends régulièrement) et Paris. La revue illustre de façon claire et très agréable la vie et l'oeuvre d'Agatha Christie (nom de son premier mari), née dans le sud de l'Angleterre dans le Devon (région qu'elle chérissait). Des chapitres sont consacrés:
- à sa disparition pendant 11 jours entre le 3 et le 14 décembre 1926, l'année où elle divorça de son mari Archibald Christie (qu'elle avait épousé en 1914) et où elle perdit sa mère;
- à son enfance (elle est née pendant l'ère victorienne) et à son obsession de cet âge de la vie (avec les comptines "nursery rhyme"). J'ai appris qu'elle n'avait jamais été à l'école, mais qu'elle était une bonne pianiste et qu'elle avait appris le français. Elle appréciait des écrivains français comme Emile Gaboriau, Gaston Leroux ou Jules Verne, et évidemment Arthur Conan Doyle et Wilkie Collins;
- au cadre de ses enquêtes dans des pays comme l'Egypte, la Syrie, l'Irak, qu'elle a parcourus du fait qu'elle s'était remariée en seconde noce avec un archéologue, Max Mallowan, de 14 ans son cadet, et bien sûr l'Angleterre (dans le Devon en particulier);
- à raconter pourquoi Hercule Poirot est belge;
- aux héros récurrents comme l'inspecteur Japp, le major Hastings,  le colonel Race, Miss Lemon ou Ariadne Oliver;
- aux Beresford (Tuppence et Tommy);
- sa prédilection pour les poisons (elle avait travaillé dans un hôpital militaire en 1916);

- à ses inventions narratives (où le narrateur est le coupable);
- etc.
Il est fait mention de son autobiographie parue après sa mort (en 1976), où elle écrit beaucoup sur son enfance, sa vie (sauf sur sa disparition de 1926), ses rencontres, ses voyages mais finalement assez peu sur la genèse de son oeuvre (comment elle imaginait ses intrigues, etc.).
Elle s'est offert des identités différentes comme celle de Mary Westmacott (elle a publié 6 romans sous ce pseudonyme) ou Ariadne Oliver citée plus haut (un double fictionnel d'Agatha Christie).
Il est à noter que les carnets de notes d'Agatha Christie, où elle jetait des idées pour ses oeuvres, sont en cours de traduction.
En conclusion, un hors-série de Lire à acheter et à conserver.

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jeudi 14 juin 2007

Rappels - Magazine de théâtre

J'aime aller dans les théâtres privés ou subventionnés. Depuis quelques années, à l'entrée de certaines salles, est proposé un magazine gratuit : Rappels. La formule ressemble aux "gratuits" existants dans les salles de cinéma (voir mon billet du 10 mars 2007). Il n'y a pas de critiques mais l'actualité théâtrale est évoquée avec des interviews d'acteurs, de metteurs en scène, de gens de théâtre connus, à l'affiche ou non. Cela paraît tous les mois et on peut même s'abonner. Un site internet existe : www.rappelsmagazine.com.

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lundi 7 mai 2007

Pariscope vs L'Officiel des spectacles

Ce billet concerne deux publications que beaucoup de Parisiens ou d'habitants d'Ile de France achètent religieusement tous les mercredis, jour de parution. Je veux parler du Pariscope et de L'Officiel des spectacles. Les deux ont chacun leurs fans et rares sont ceux qui changent d'un titre à l'autre. Les acheteurs sont habitués à l'un et pas à l'autre.

Pariscope : 40 cts d'euro, format A5, papier recyclé, tient très bien dans un sac à main ; les rubriques sont, dans l'ordre : le théâtre, la musique, en ville, le cinéma, les restaurants, pour les enfants, les arts et les promenades et loisirs. Pour chaque rubrique, il y a des critiques théâtre, resto, cinéma, etc. Pour le cinéma : une page est consacrée au hit parade box office et critique. Depuis peu, des pages en couleur pour la rubrique en ville égaient le tout. Cette rubrique évoque, chaque semaine, un quartier ou un endroit de Paris ou périphérie.

L'Officiel des spectacles : 35 cts d'euro, format A5, papier recyclé, tient aussi très bien dans un sac à main ; les rubriques sont, dans l'ordre : le théâtre et les spectacles vivants, le cinéma et les prévisions à de sorties, les concerts, pour les jeunes, les conférences, les expositions, les musées et les restaurants.

Pendant quelques années, a existé Zurban qui était un magazine tout en couleur avec les mêmes rubriques, plus étoffé et, évidemment, beaucoup plus cher. Il a malheureusement disparu.
Tout cela pour dire que Pariscope et L'Officiel font partie intégrante du paysage culturel parisien.

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samedi 10 mars 2007

Journaux cinéma gratuits

Je suis d'une génération qui a connu le magazine Actua Ciné, petit journal distribué à l'entrée des salles de cinéma "art et essai" et des grands réseaux. Comme la démarche était sympathique, les grands circuits comme Gaumont-Pathé, UGC et même MK2 ont copié la formule et ont lancé leur propre journal dédié et évidemment Actua Ciné a été évincé. Une ville comme Limoges publie aussi bimestriellement un petit journal Zoom focalisé plus particulièrement sur les films "art et essais". Il est très intéressant et édité avec du papier recyclé, l'essentiel y est c'est-à-dire les sorties de films. Revenons aux publications nationales des trois circuits de distribution. MK2, pour son 50ème numéro de Trois couleurs,  sort ce mois-ci une nouvelle formule avec en plus des sorties du mois dans son circuit, des articles sur la culture (livres, musique, art) et la technologie et jeux vidéo. Cette publication élargit le champ purement cinéma. Le journal UGC ILLIMITE se concentre sur les sorties du mois dans les salles UGC, quelques news, des rendez-vous et la promo de la carte d'abonnement. Le journal est une pub pour UGC. Le journal Gaumont a la même ligne éditoriale, si je puis dire, d'auto-promotion. Tout cela pour conclure que j'ai la nostalgie d'Actua Ciné qui ne parlait que des sorties cinéma et de rien d'autre.

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mercredi 21 février 2007

Vanity Fair - Le Magazine

A l'occasion de la cérémonie des Oscars et autres remises de prix du cinéma américain, chaque année, paraît un numéro spécial Hollywood du magazine Vanity Fair. De grands photographes très connus dans la profession comme Anne Leibowitz tirent des portraits d'acteurs dans l'actualité, souvent des "nominés" aux oscars et d'autres valeurs sûres. Chaque année, c'est un enchantement des yeux. Cette année, à la différence des précédentes, les acteurs ont été photographiés comme dans un roman photo avec un scénario dans la ligne des films noirs avec un titre "Killers kill, dead men die" qu'on peut traduire à peu près par "Les tueurs tuent et les hommes morts meurent". Tout un programme ! Tout cela pour dire que une fois par an, essayez de trouver chez votre vendeur de journaux préférés le numéro de Vanity Fair, au moment des Oscars, qui devient un objet de collection.

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vendredi 9 février 2007

Sur les magazines de cinéma

Depuis plus de vingt ans, j'achète régulièrement des magazines de cinéma avec en tête Première et Studio. A la fac, j'ai eu ma période Cahiers du Cinéma mais je me suis rendue compte que j'étais plus Positif, je le suis encore. Dieu, que j'ai aimé le magazine Première, avec ses grandes photos, ses articles que j'ai souvent découpés, c'était vraiment très bien et puis patatras, depuis presque dix ans, même si je continue à l'acheter, c'est lamentable. Les photos sont moches, les articles sans intérêt mais je l'achète par réflexe car le prix a baissé comme la qualité. Aux dernières nouvelles, il semblerait qu'il va disparaître. Studio que j'ai acheté dès le premier numéro, a baissé en qualité mais dans l'ensemble, il est bien ; les photos et les articles sont de bonne tenue. Il a eu la même bonne idée que le magazine Ciné Live d'ajouter un CD/DVD rom. C'est une bonne initiative, car même si je jette le magazine au bout d'un moment, je garde les CD/DVD rom. N'achetant plus les Cahiers du cinéma depuis des années, je n'en parlerai pas, en revanche, il m'arrive d'acheter Positif  quand un dossier m'intéresse, et là, vu le prix, les numéros se gardent. Tout cela pour dire qu'il est bien que le cinéma ait des magazines dédiés qui donnent envie d'aller au cinéma. [autre billet en 2011 ici]

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