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18 juillet 2024

Bateaux et aventures maritimes chez Jules Verne

La découverte d’un vieux "Bibliothèque verte" il y a quelque temps m’avait (ta d loi du cine, "squatter" chez dasola) donné l’idée d’une nouvelle contribution au challenge Book trip en mer chez Fanja, basée sur Jules Verne. J’ai donc pioché dans ma pochothèque les titres qui me paraissaient adéquats. Alors bien sûr, je ne vais pas prétendre avoir relu ces plus de huit mille cinq cents pages (œuvre de trop longue haleine). Par contre, j'ai parcourus tous ces volumes, pour me remettre en mémoire les « morceaux de bravoure », mais aussi et surtout (re)trouver les noms des navires dont il y est question. Et comme ils sont nombreux, j’annonce dès à présent qu’un seul billet n’y suffira pas : j’amorce aujourd’hui une série !

Comme l'énonce une réédition "Le livre de poche" plus récente (couverture de couleur rouge), ces éditions étaient publiés "avec les illustrations originales de la collection Hetzel". J'ajoute que j'ai eu l'occasion de feuilleter, en librairie, d'autres éditions en format de poche (Folio classique et Pocket classique). Vu que celles-ci sont plus hautes d'un bon centimètre, elles ont le plus souvent fait le choix de publier les illustrations en format légèrement plus petit, de manière à pouvoir mettre plusieurs lignes de texte (tandis que les illustrations de "mon" édition ou du Livre de poche "rouge" sont "pleine page"). Bien évidemment, tous ces titres rentrent dans le challenge 2024 sera classique aussi de Nathalie.

 

Face au drapeau (264 pages). J’ai déjà dit quelques mots ailleurs concernant ce premier titre. L’action commence en juin 189…, et le premier navire concerné y apparaît à la septième ligne: la goélette Ebba, propriété du comte d’Artigas – pour ce qui est de ce que l'on voit à la surface. Quand le croiseur Falcon envoie une embarcation inspecter l’Ebba, elle n’y trouve pas l’ingénieur Roch ni son gardien Grayson, dont nous savons pourtant qu’ils ont été enlevés sur l’ordre du comte. Mais sous la surface, se dissimule le « tug », un sous-marin qui remorque la goélette et permet d’accéder à la base secrète des pirates commandés par Ker Karraje (située dans les Bermudes), via un tunnel sous-marin. James Bond n’a rien inventé… ! Un sous-marin anglais, le Sword, plus petit et moins puissant que le « tug », sera coulé par celui-ci au cours d’une tentative de délivrer les prisonniers. Un premier navire de guerre, détruit par l’inventeur du fulgurateur, reste anonyme. Le navire suivant qui part à l’attaque, le Tonnant français, ne subira pas le même sort. Mon exemplaire imprimé en 1976 m’a été offert en 1978. 

 

20 000 lieues sous les mers (616 pages [publié en feuilleton en 1869-70, en grande édition illustrée fin 1871]) est le plus connu des romans de Jules Verne mettant en scène des sous-marins (le Nautilus est aussi le plus célèbre), mais ce n'est pas le seul. Outre ceux cités ci-dessus, il y a aussi l'engin qui apparaît dans Maître du monde (mais on ne le voit naviguer que sur le lac Erié). Et dans le présent titre, outre le Nautilus, il est aussi question de navires de surface: en 1866, plusieurs bateaux font une rencontre "avec "une chose énorme", un objet long, fusiforme, parfois phosphorescent, infiniment plus vaste et plus rapide qu'une baleine" (p.2): le Governor Higginson, le Cristobal Colon, le Shannon, l'Helvetia, le Pereire, l'Etna, la Normandie, le Lord Clyde, le Moravia, qui érafle sa quille sur un obstacle inconnu, le Scotia, dont la coque est perforée... A bord de l'Abraham Lincoln, le professeur Aronnax (du Museum de Paris), son domestique Conseil et le harponneur Ned Land partent à la "chasse au narval géant". Et ils abordent le monstre... 

 

Le "journal du passager.-R. Kazallon" qui forme le texte du roman d'aventures maritimes Le Chancellor commence par ces mots: "Charleston - 27 septembre 1869. Nous quittons le quai...". Le Chancellor, beau trois-mâts carré de 900 tonneaux, a alors deux ans, et retourne en Angleterre. Le 27 janvier 1870, des 32 personnes embarquées à Charleston, il n'en reste plus que 11 (cinq passagers et six marins) à toucher, en radeau, la terre d'Amérique vers l'embouchure de l'Amazone: incendie à bord, étape sur un îlot en pleine mer, naufrage, famine, peu de calamités leur auront été épargnées... Le livre (237 pages dans mon édition) est paru en 1874. 

 

Une ville flottante, c'est ainsi que peut être qualifié le Great Eastern, un navire ayant réellement existé, à son époque le plus grand paquebot du monde (jusqu'en 1899, aucun bateau n'a été plus long, voir wikipedia consulté le 14/07/2024), qui pouvait embarquer 4000 personnes et faire d'une traite (sans ravitaillement en charbon) la traversée transatlantique. Jules Verne a lui-même effectué une traversée en avril 1867, accompagné de son frère Paul, à bord de ce "monstre" de 211 m de long, 25 m de large et 18 m de haut. L'intrigue sentimentale qui court à travers le roman est narrée à la première personne par un "témoin anonyme", dont le récit débute le 18 mars 1867. Le roman est paru en feuilleton en 1870, et en volume en 1871. Mon édition compte 171 pages. 

 

Les enfants du capitaine Grant est sous-titré "Voyage autour du monde". Le 26 juillet 1864, le yacht Duncan appartenant à Lord Glenarvan, pair écossais (et possesseur d'une fortune immense), pêche un requin-marteau au large de Glasgow. Dans son estomac, une bouteille. Dans la bouteille, trois documents peu lisibles, en anglais, allemand et français: l'appel à l'aide de naufragés, quelque part sur le 37e parallèle (la longitude manque dans le message). Après la visite des "enfants du capitaine Grant" qui commandait le navire perdu (le Britannia), Lord Glenarvan, sa femme Lady Helena, son cousin MacNab, le géographe Paganel et tout un vaillant équipage s'embarquent donc à bord du Duncan pour chercher les naufragés quelque part le long de la latitude indiquée! Mon édition comporte deux tomes (dont la numérotation se suit! Le premier se termine p.441, le second commence p.449 et se termine p.871). Après bien des péripéties y compris terrestres (en ligne droite à travers la Patagonie, l'Australie ou la Nouvelle-Zélande...), le capitaine sera sauvé, de manière inattendue, le 8 mars 1865. Le feuilleton, lui, a été publié de décembre 1865 à décembre 1867, et l'édition en volumes est parue en 1868. 

 

Dans Le tour du monde en 80 jours (331 pages), bien des moyens de transport sont utilisés, du traineau à l'éléphant en passant par le chemin de fer. Mais plusieurs navires aussi. Si l'itinéraire initial prévoit des "paquebots", ce ne sera pas toujours le cas. Phileas Fogg, qui a parié pouvoir revenir à son Club, tour du monde effectué, le samedi 21 décembre 1872, quitte l'Angleterre par le Mongolia, mercredi 2 octobre 1872 (le feuilleton de Jules Verne a été publié en partie "en temps réel", du 6 novembre au 22 décembre de cette même année 1872!). Puis l'Inde par le Rangoon jusqu'à Hong-Kong, où il devrait "sauter mathématiquement" dans le Carnatic, direction Yokohama. Mais, suite à quelques imprévus, il ralliera Shangaï à bord de la Tankadère, pour prendre le Général-Grant jusqu'à San Francisco. Je relève avec intérêt que le trajet de San Francisco à New-York est donné pour 7 jours (Phileas Fogg n'est pas un magnat des chemins de fer). Arrivé à New-York, il a raté le China (paquebot de la "Cunard"), mais monte à bord de l'Henrietta, "steamer à coque de fer, dont tous les hauts étaient en bois" (p.291), destination Bordeaux. L'Henrietta devient sujet et objet d'une des plus magnifiques "course contre la montre" que mène (davantage qu'il y est mené) Philéas Fogg. En fin de compte, c'est à Liverpool que ce dernier navire le conduira... 

 

L'île mystérieuse: encore une histoire en deux volumes pour ce qui concerne mon édition (elle se termine p.865 pour le second après y avoir repris p.449, le premier tome s'achevant, lui, p.442). Dans ce célèbre roman paru en 1875 et dont l'action débute durant la guerre de Sécession (en mars 1865), c'est en ballon que six "naufragés des airs" abordent leur île. Chef-d'oeuvre de la robinsonnade et l'un de mes Jules Verne préférés, ce titre qui me fascinait dans ma jeunesse montre des personnages industrieux capables de recréer la plupart de ce dont ils ont besoin à partir des matières premières à leur disposition: poterie, travail des métaux, verrerie, moulin à eau pour divers usages, charpente... (et même de la nitroglycérine). Lorsque le roman s'achève, trois navires en parfait état de navigation y ont pourtant coulé (notamment les Bonaventure et Speedy), et c'est en cours d'achèvement que le second construit par les colons est détruit (Bonaventure II), sans avoir jamais navigué... mais ils sont sauvés par un cinquième et dernier bateau. Alors, bien sûr, ce grand ouvrage comprend des coups de théâtre et des incohérences. S'il écrivait aujourd'hui, Jules Verne aurait certainement su résoudre quelques paradoxes temporels trop évidents autrement que par une ou deux simples pirouettes.

Comme je les ai lus et relus, l'un des tomes figure parmi mes exemplaires les plus mal en point (reliure décollée, pages qui se détachent...), cependant que j'ai déjà carrément remplacé l'autre, tout en conservant "l'historique" de ma première acquisition. 

C'est seulement à l'occasion de cette (re)lecture 2024 que j'ai pris conscience de la source qui avait pu inspirer Jules Verne: un récit, Les naufragés des Auckland, de François-Edouard Raynal, qu'il cite d'ailleurs (cf. chap.VI, p.62). Je tâcherai de le lire avant le mois de novembre.

 

Un capitaine de quinze ans m'avait été offert pour mon seizième anniversaire... largement plus d'un siècle après les aventures relatées dans ce volume de 526 pages, qui commencent le 2 février 1873. Le brick-goélette Pilgrim (400 tonneaux), armé pour la grande pêche (à la baleine), avait quitté San Francisco avec un équipage réduit, en attendant de le compléter en Nouvelle-Zélande pour la campagne baleinière proprement dite, la saison précédente. Quand l'histoire commence, il a entamé la traversée de retour (prévue pour 40 à 50 jours de navigation), avec la femme de l'armateur, son enfant, son cousin et sa servante. Le navire commence par recueillir cinq passagers sur l'épave du Waldeck, un voilier victime d'une collision avec un "steamer". Puis le capitaine et les quatre matelots succombent à l'envie de chasser une baleine à bosse, malheureusement accompagnée de son baleineau. Leur baleinière n'en revient pas. D'où l'avancement-éclair de Dick Sand, qui passe de "novice" (apprenti marin) à capitaine, puisqu'il reste le seul marin "professionnel" à bord du Pilgrim. Le 6 avril, le navire s'échoue sur une côte inconnue (p.174)... Le reste des aventures se déroulera essentiellement à terre. Ce titre a été publié (en feuilleton puis en volume) en 1878.

 

Ce qui amène un jeune équipage à passer Deux ans de vacances, c'est une tempête, dans la nuit du 9 mars 1860, qui emporte dans le Pacifique, depuis Auckland (Nouvelle-Zélande), le yacht Sloughi et ses jeunes passagers. Encore une robinsonnade: pas d'adultes pour aider nos collégiens à se tirer d'affaire sur l'île où le navire s'est échoué. En l'explorant, ils trouvent seulement le squelette d'un naufragé d'un navire nommé Duguay-Trouin, arrivé, lui, sur l'île en 1807... La petite colonie (tous des garçons, de 8 à 14 ans!) s'organise. Lorsque des adultes, eux-mêmes naufragés du Severn, abordent à leur tour l'île, la majorité sont des canailles qui en ont massacré le capitaine et son second. Alors qu'après quelques péripéties le couple survivant et nos 15 adolescents ont quitté leur île à bord de la chaloupe du Severn, ils sont recueillis par le steamer Grafton le 13 février 1862 pour un retour à Auckland le 25 février. Ce roman de 520 pages (dans mon édition) a été publié en 1888 (feuilleton puis volume). 

 

Les aventures du capitaine Hatteras emmènent ce dernier jusqu'au pôle Nord. Le 5 avril 1860 (décidément!), le brick le Forward (170 tonneaux, muni d'une hélice et d'une machine à vapeur) appareille de Liverpool pour une destination inconnue, avec des vivres pour 5 ou 6 ans et du charbon pour sa machine. Il a été construit en huit mois sous la supervision du second, chargé par un mystérieux capitaine de recruter un équipage de 18 hommes. Personne ne sait qu'il est à bord avant la page 115. Naviguant vers le Nord, le navire est définitivement immobilisé par la glace le 15 septembre. Puis le scorbut s'en mêle, et le manque de charbon amène à brûler les éléments en bois... Un récit d'explorateur amène Hatteras à quitter son navire avec une petite équipe (ils sont quatre en tout) en traîneau à la recherche d'un gisement de charbon. Sur son chemin, il rencontrera le navire américain Purpoise (après avoir sauvé son capitaine, seul survivant), qui a réussi à aller plus loin vers le Nord. Revenant sur leurs pas sans charbon, ils apprennent que l'équipage du Forward l'a abandonné après l'avoir incendié... les ressources du Purpoise permettent à nos héros de survivre à leur hivernage. Le 15 juillet 1861, revenus sur le rivage de la Mer de Baffin après avoir atteint le pôle, les survivants de l'expédition sont recueillis à bord du Hans Christien, baleinier danois, qui les ramène dix jours plus tard au Danemark. L'ouvrage a été publié en feuilleton en 1864-65 (deux parties), et en volumes en 1866. Mon édition comporte 624 pages. Je pense qu'il s'agit d'un volume de la bibliothèque familiale que je m'étais approprié sans plus de façons lorsque j'étais gamin.

 

Je vais arrêter là cet article avec les dix premiers titres sur la photo pour aujourd'hui (Fanja, as-tu reçu mon mail?). J'ai tâché de les choisir en fonction de la place importante qu'y tiennent les navires (navigation formant le sujet ou tenant une place importante dans l'intrigue, bateau comme seul moyen d'atteindre un lieu important...). Mais il y aura donc bien au moins un autre article sur les oeuvres de Jules Verne, avec les dix derniers titres extraits de ma "pochothèque personnelle" photographiés ci-dessus. [cf. Utilisation de navires au cours d'aventures chez Jules Verne, publié le 29/07/2024]

Quatre volumes sont des "pavés" qui pourraient prétendre s'inscrire au challenge de Sibylline (Les pavés de l'été 2024), si j'en avais écrit un peu plus... 

Commentaires
F
Je t'en ai déjà parlé en privé en réponse à ton mail, mais encore une fois, très impressionnant ce travail de "relecture" pour recenser les navires dans les oeuvres de Jules Verne ! Bon là, forcément tu as pris du grade, c'est très mérité.:) Il faut juste que j'aille revérifié ce sur quoi on s'était entendu.^^ Merci pour cette participation très originale.
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G
Quelle jolie idee. Pour ma part, je n'ai que lu Vingt mille lieues sous les mers.
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T
Waouh ! Quel boulot et là tu me fais chaud au cœur car je crois que c’est mon auteur favori mais aussi c’est un crève cœur car en déménageant il y a deux ans et compte tenu du peu de place dont nous allions disposer, j’ai vendu ou donner tous mes livres. Je voulais uniquement garder mes Jules Verne, les Zweig et quelques autres livres. Et la fatigue aidant, un carton à sûrement été mal « orienté « et en arrivant je n’ai trouvé que 4 « Jules Verne »..,<br /> Ps: pas de nouvelle d’Hautefort. Désolée. Mais j’ai vraiment plaisir à te lire.
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M
Ce récapitulatif est tout à fait intéressant ! J'ai lu plusieurs titres de Jules Verne qui datent de cette époque et de cette collection mais ils appartenaient à mon frère et sont donc...chez lui :) En tous les cas bravo pour tes recherches et ce beau panel parfait pour le challenge.
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S
Je viens quant à moi de sa ville natale, tournée vers la mer même si c'est depuis le fond de l'estuaire 😉. On dit que c'est de là que viendrait sa passion pour les bateaux et les voyages, notamment transatlantiques. Merci pour ce moment nostalgie (j'ai l'odeur des pages de ces êditions poche qui me revient à la lecture de ce billet).
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J
Quelle belle idée ce billet mais il a dû te donner beaucoup de travail ! J'habite la ville d'adoption de jules Verne et je n'avais pas idée que la navigation prenait autant d'importance dans son œuvre;
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A
Sacré travail ! Et très belle idée de contribution à ce challenge.
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D
Tu t'es lancé le défi de recenser les noms des navires. Je me rends compte que je ne connaissais que le Nautilus, et qu'il y a plein de titres de Jules Verne que je n'ai jamais lu.
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K
J'aime ce petit vent de nostalgie qui souffle ici!!! Ce cher Verne est incontournable dans ce book trip!
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