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Le blog de Dasola
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Pour les challenges de l'année en cours, 
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29 janvier 2020

La Llorona - Jayro Bustamante / Une belle équipe - Mohammed Hamidi

Le film guatémaltèque La Llorona raconte une histoire étrange baignée dans le surnaturel qui se passe en vase clos, un film qui m'a beaucoup plu. Enrique, un général responsable dans les années 80 d'un génocide contre des Indiens, passe en jugement. Il est acquitté malgré les témoignages accablants contre lui. Il attend maintenant un nouveau procès en vivant reclus avec sa femme, sa fille et sa petite-fille dans sa maison encerclée par des manifestants qui demandent justice. Après que les domestiques soient tous partis, seule une gouvernante reste fidèle. C'est elle qui embauche Alma, une jeune Amérindienne mutique aux cheveux longs et noirs. La nuit, le général se met à entendre des pleurs, il croit que c'est Alma, la Llorona (la pleureuse). Cela le rend fou. Il est vrai qu'Alma est une jeune femme étrange entourée de grenouilles. Pendant ce temps, les femmes de la famille s'entraident, elles sont soudées face à la violence dont fait preuve Enrique. J'ai aimé l'atmosphère de ce film. On sent la menace et la peur. On se demande ce qui va arriver. Le réalisateur Jayro Bustamante a gagné en maîtrise dans son métier de réalisateur. Et j'avais déjà bien apprécié Ixcanul, un de ses films précédents.

Avant qu'il ne disparaisse des écrans faute de spectateurs, je vous conseille, comme Pascale, d'aller voir Une belle équipe de Mohammed Hamidi. A Clourrières, une petite ville des Haut de France, l'équipe de foot locale se fait suspendre à cause d'une bagarre. Il lui restait trois matchs à jouer pour essayer de gagner un point qui lui permettrait de ne pas disparaître. Marco (Kad Merad), l'entraîneur de l'équipe, ne sait pas quoi faire jusqu'à ce que sa fille lui suggère de créer une équipe féminine de remplacement. Bien évidemment, rien ne sera simple. En particulier, le comportement macho voire sexiste des maris de quelques joueuses. Et justement, elles se serrent les coudes, toutes ces femmes. Elles ne s'en laissent pas conter malgré tous les obstacles qu'elles rencontrent. Et puis la Fédération de football ne compte pas valider ces matchs entre hommes et femmes. Les acteurs sont tous épatants. Je ne m'attendais à voir Céline Sallette dans ce genre de film, elle est très bien. Un film sympathique qui fait du bien. 

26 janvier 2020

Les siffleurs - Corneliu Porumboiu / Les filles du Dr March - Greta Gerwig / Un vrai bonhomme - Benjamin Parent

J'ai voulu voir le film roumain Les Siflleurs car j'ai trouvé la bande-annonce pas mal du tout, et bien je n'ai absolument rien compris. Cela se passe entre la Roumanie et les Canaries. Il y quelques millions d'Euro en jeu. On entend une langue sifflée, le silbo, qui sert de langue de communication entre quelques personnages. Et sinon, je retiens l'actrice principale et la musique d'Offenbach, les Contes d'Hoffmann, ainsi que l'air de Casta Diva dans Norma de Bellini. Il y aussi une scène d'une violence inouÏe (un homme égorgé), un matelas rempli d'Euro et puis c'est tout. Il faut peut-être voir le film deux fois pour le comprendre.

Je passe aux Filles du Dr March, énième adaptation du roman publié en 1868 par l'Américaine Louisa May Alcott. Les quatre filles vivent avec leur mère et la domestique pendant que le père s'est engagé dans le conflit de la guerre de Sécession. Le film est composé de nombreux flash-backs qui nous présentent plusieurs moments dans la vie de de cette famille soudée malgré quelques jalousies entre filles. Meg, qui rêve de faire du théâtre, se marie avec un homme aimant mais sans le sou, Jo, le garçon manqué de la famille, écrit en comptant se faire publier et jure de ne jamais se marier, Beth à la santé fragile, joue du piano, et Amy dessine et peint. C'est un film plein de bons sentiments. Il y a un clin d'oeil à la France avec les acteurs Louis Garrel et Timothée Chalamet. Saoirse Ronan qui interprète Jo confirme être une actrice à suivre. Je l'avais bien appréciée dans Reviens-moi, Hannah, Brooklyn et Lady Bird. Il faut noter que, plus de trois semaines après sa sortie, le public est toujours au rendez-vous. J'ai vu le film dans une salle pleine.

Je termine avec un film que sans l'avis de Pascale je ne serais pas forcément allée voir, Un vrai bonhomme de Benjamin Parent. Il s'agit d'une comédie française très enlevée avec deux jeunes comédiens épatants. Tom (Thomas Guy) et Leo (Benjamin Voisin) sont des frères inséparables jusqu'à ce qu'un accident de voiture les sépare, même s'ils continuent à se parler. C'est l'histoire de l'émancipation de Tom, le jeune frère, qui va arriver grâce à de belles rencontres à se dégager de l'influence de Léo, son frère aîné et adoré. Je trouve dommage que le titre du film ne soit pas à la hauteur de cette histoire émouvante et pas mièvre du tout. Une jolie surprise à ne pas manquer.

23 janvier 2020

Miss Islande - Auður Ava Ólafsdóttir

P1110613

Je viens de terminer Miss Islande d'Auður Ava Ólafsdóttir (Editions Zulma, 261 pages). J'ai trouvé ce roman lumineux, avec des personnages attachants qu'on est triste de quitter quand on arrive à la fin en suspens. En 1942, en Islande, dans une ferme sur les terres de la Saga des Gens du Val-au-Saumon, est née Hekla, trois semaines avant terme. Hekla est aussi le nom d'un volcan islandais qui fera une éruption peu d'années après. C'est son père, passionné par les volcans, qui lui a donné ce prénom. Il y a plus de 200 volcans en Islande. On retrouve Hekla en 1963, en route pour Reykjavik par autocar. Elle cherche du travail tout en rêvant d'écrire pour être publiée. Arrivée dans la capitale, elle rend d'abord visite à Ysey, son amie d'enfance, qui à 22 ans est déjà mariée et mère d'une petite fille. Isey s'évade de la réalité en écrivant un journal. Elle admire beaucoup Hekla. Cette dernière va partager un appartement avec Jon John son meilleur ami, côté masculin. Ce marin qui rêve de créer des robes est homosexuel. Ce n'est pas facile dans les années 60 pour une femme et un homosexuel de vivre leur vie comme ils l'entendent. Dans ce roman, il est question du concours de Miss Islande qu'Hekla pourrait tenter, mais il est surtout question de livres, de sagas et d'écrivains islandais. Après une période un peu rude pour moi, j'ai beaucoup apprécié ce livre qui se lit vite, avec une belle histoire qui fait du bien. Je le recommande bien sûr, tout comme Eimelle, Hélène, Philisine Cave, Krol, Cathulu et Cuné. Miss Islande a été récompensé du Prix Médicis étranger fin 2019.

21 janvier 2020

Bug informatique sur canalblog

Bonjour à tous, je me fais l'écho d'Aifelle. En effet, depuis avant-hier soir, il est diffiicile de commenter sur canalblog. Quand vous voulez publier un commentaire, il se peut qu'un message rouge apparaisse disant qu'il y a trop de commentaires émis en même temps. Il faut insister au moins deux ou trois fois et miracle, le commentaire est publié! Désolé pour la gêne occasionnée mais décidément, la plateforme canalblog ne s'améliore pas. Très bonne journée à vous tous.

19 janvier 2020

1917 - Sam Mendes

Le 6 avril 1917, pendant la première guerre mondiale, quelque part sur le front dans le nord de la France, deux jeunes caporaux britanniques, Schofield et Blake sont chargés par un général d'aller porter un message de l'autre côté des lignes ennemies à un colonel d'un régiment britannique prêt à une offensive. En effet, les Allemands ont tendu un piège et 1600 soldats britanniques risquent de mourir dans l'attaque. Parmi eux, il y a le frère de Blake. L'histoire commence au pied d'un arbre et se termine aussi au pied d'un arbre 24 heures plus tard. Dans l'intervalle, on suit Schofield et Blake dans un long plan séquence. On marche avec eux dans la gadoue parmi les cratères creusés par les obus. On voit des cadavres, des corbeaux, des barbelés et des rats, tandis que Blake et Schofield continuent d'avancer. La caméra les suit et les précède. Grâce au talent du réalisateur, on a l'impression que le film a été tourné en une seule prise. Certains plans m'ont fait penser au film Les sentiers de la gloire de Stanley Kubrick, dans les tranchées, et quand un village brûle, la séquence ressemble à une scène de Skyfall de... Sam Mendes. Il y a une tension pendant tout le film car on ne sait pas si les deux jeunes soldats vont remplir leur mission. Je ne vous dirais rien de plus si ce n'est que la réalisation est magistrale. On ne s'ennuie* pas une minute*. Le seul petit bémol que je ferais au film, c'est d'avoir choisi, pour une séquence, une rivière qui devient une cascade. Je ne suis pas sûre qu'un tel cours d'eau existe cette région si plate de France (comme l'avait aussi relevé Pierre D.). J'ai vu le film en avant-première avec mon ami, dimanche dernier 12 janvier 2020. Lors de la présentation, on nous a dit que le film avait été tourné en Angleterre, et non en France sur les champs de bataille de l'époque qui sont considérés comme des sanctuaires. 500 figurants ont participé au tournage. Sam Mendes s'est inspiré des histoires que lui a raconté son grand-père, Alfred, qui est mentionné dans le générique de fin. Enfin, il faut noter que le 6 avril 1917 est la date d'entrée en guerre des Etats-Unis dans le conflit. Lire les billets de Neil et Pascale.

* [et non "s'ennuit" et "mintute", merci Ronnie!]

16 janvier 2020

Vie de Gérard Fulmard - Jean Echenoz

P1110612

Quand j'ai appris qu'un nouveau Jean Echenoz était paru, je me suis précipitée dans une de mes librairies préférées. Et voilà, je viens d'achever Vie de Gérard Fulmard (Les Editions de Minuit, 235 pages). Tout commence avec la chute d'un fragment d'un satellite soviétique obsolète s'écrasant sur un centre commercial à Auteuil, dans l'ouest parisien. Et l'histoire se termine près du pont Mirabeau. Nous suivons donc les (més)aventures de Gérard Fulmard, 45 ans, ancien steward licencié pour faute, qui devient un détective privé sans client. Cet homme aux "vie sociale et revenus proches de rien, famille réduite à plus personne" vit dans un deux pièces et demie où vivait sa maman, rue Erlanger dans le XVIème arrondissement. Une rue pas bien gaie où deux faits divers tragiques se sont déroulés. Par l'intermédiaire d'un psychologue dont il est le patient, Gérard Fulmard, à son corps défendant, va accepter un "contrat" sur un homme politique leader d'un petit parti mineur, la FPI (Fédération Populaire Indépendante). Racontée comme cela, l'histoire n'a rien d'extraordinaire, mais l'écriture d'Echenoz est un régal. "Le salon, chez Dorothée Lopez, relève du même genre fortuné que le salon d'été de Louise Tourneur près de sa piscine, mais en plus vaste et mieux adapté aux trois autres saisons. Les tapis et les meubles - guéridons stratifiés de livres d'art et de catalogues de salles des ventes, méridiennes, sofas, poufs - ainsi que la décoration - un Staël, un Klein, trois antiquités soclées - dénotent un goût et un matelas bancaire analogues." (p.40). Un roman que je conseille, tout comme Sandrine.

13 janvier 2020

L'art du mensonge - Bill Condon / Manhattan Lockdown - Brian Kirk

Voici deux films vus aussi depuis le début de l'année.

Je suis allée voir L'art du mensonge car les deux têtes d'affiche sont Helen Mirren et Ian McKellen. Sans dire que c'est nul (quoique), le film n'est pas terrible. Le scénario adapté d'un roman ne tient pas trop la route. Deux septuagénaires font connaissance via un site de rencontres sur Internet. Chacun n'a pas dit tout la vérité en ce qui le concerne. Betty McLeish (Helen Mirren) a perdu son mari un an auparavant. Elle a un neveu qui veille sur elle de loin. Roy Courtnay est veuf depuis plus longtemps. Après leur première rencontre, on découvre l'autre visage de Roy, un homme dangereux qui est un escroc et qui n'hésite à éliminer les personnes risquant de lui nuire. Quant à Betty, on apprend dans la dernière demi-heure qui elle est vraiment. Ce jeu du chat et la souris n'est pas drôle du tout et certaines scènes sont grotesques. Quel dommage que des acteurs de cette envergure se soient fourvoyés dans cette galère.

Je passe à Manhattan Lockdown que j'ai vu grâce à Pascale qui en a dit plutôt du bien. A New-York, une nuit, deux braqueurs deviennnent des tueurs de flics après un braquage qui tourne mal. Ils sont traqués par Andre Davis, un flic dont le père était flic lui aussi. Andre qui est un homme réfléchi fait fermer tous les ponts de Manhattan pour empêcher les deux braqueurs de s'enfuir. Le rythme est haletant grâce à une histoire tordue pleine de rebondissements et de révélations. Un bon film de série B très estimable et que je vous conseille.

10 janvier 2020

Les incognitos - Nick Bruno et Troy Quane / Le lac aux oies sauvages - Diao Yinan

Voici deux films vus depuis le début de l'année 2020.

Le film d'espionnage animé Les Incognitos m'a bien divertie. Ce film pour petits et grands narre les aventures de Lance Stirling, agent secret dont toutes les missions sont un succès. Un jour, il doit combattre un nouvel ennemi: Killian menace la paix sur terre avec son bras et sa main en acier. Il commande des milliers de drones télécommandés. Stirling est aidé par Walter Beckett, un jeune scientifique échevelé et très sympathique qui travaille pour la même agence que Stirling. Autant Stirling est l'agent secret le plus connu au monde, autant Becket confiné dans son laboratoire de recherche est totalement inconnu. La mission de Stirling risque de tourner au fiasco quand il est transformé en femelle pigeon après avoir pris une potion concocté par Beckett qui voulait rendre Stirling invisible. L'action nous emmène en mer du Nord et à Venise avec un crochet par le Mexique. L'animation est réussie, le rythme haletant. Un très bon dessin animé.

J'ai lu les critiques négatives de Pascale et Mymp et entendu les avis des critiques du Masque et la Plume mais personnellement, j'ai bien apprécié Le lac aux oies sauvage du réalisateur chinois Diao Yinan. J'ai tout de suite été embarquée par l'histoire qui se passe la nuit dans une petite viille où des gangs sévissent pour voler des motos. Quand le film démarre sous la pluie, un homme inquiet attend sa femme près d'une gare. C'est une autre qui arrive, une prostituée. Zhou Zenong, le chef d'un des clans, est poursuivi, non seulement par la police car il a tué un policier par inadvertance, mais encore par les membres d'un gang rival. Sa tête est mise à prix. Il espère que sa femme touche la prime. En fin de compte, l'histoire n'a pas beaucoup d'importance car la forme prime sur le fond. Il y a de belles séquences comme ces femmes, des prostituées appelées des baigneuses car elles exercent leur métier en barque sur un lac. Comme l'histoire se passe la nuit, il y un jeu sur les ombres et l'obscurité. C'est très beau. J'ai aimé les 1H50 que dure le film, et la fin où l'on voit deux femmes bras dessus, bras dessous en plein jour. Lire le billet élogieux de Chris.

9 janvier 2020

13 ans de blog (ô bonheur)

Pour ce treizième bloganniversaire célébré par le blog de dasola, je (ta d loi du cine, squatter - et statisticien - chez dasola) me suis demandé comment vous sortir quelques statistiques inédites de derrière les fagots.

Je me suis donc intéressé (c'est la période!) aux voeux de nouvelle année qu'elle a publiés depuis le 31/12/2008 inclus jusqu'au 1er janvier 2020 (sa 1ère année de blog, en 2007, est "hors catégorie", car le billet du 24 décembre 2007 souhaitait "Joyeux Noël et bonne année" avant une pause qui a duré jusqu'au 7 janvier 2008...).

J'ai concocté un petit graphique avec le nombre de commentaires le 31 décembre (pour les deux années où le "billet des voeux " a été publié dès ce jour-là), le nombre de commentaires obtenus du 1er janvier au 8 janvier inclus (avant le "bloganniversaire"), et les éventuels commentaires ultérieurs. Le plus tardif était intervenu en 2015 (le 27 janvier), tandis qu'en 2018 il n'y en a plus eu après le 6 janvier, mais je n'ai pas su intégrer cette donnée au graphique (la date de dernier commentaire pour le billet "Voeux" de chaque année...).

Stats_voeux_actualisees
[Graphique mis à jour le 01/02/2020]

Depuis le début de l'année 2020, à ce jour, ce sont 44 personnes différentes qui sont déjà revenues (dont, on l'a vu, 28 sur le billet des voeux).

Quelques autres informations sur cette année 2019 qui est désormais loin derrière nous (même si certaines choses commencées avant les fêtes se poursuivent aujourd'hui - la grève des transports, par exemple): 121 personnes différentes sont venues faire chez dasola un commentaire, sur l'un des 129 billets qui y ont été publiés et qui ont totalisé 1741 commentaires. Mais seuls 21 billets ont atteint ou dépassé le cap des 20 commentaires, et seul celui des voeux a dépassé les 30. On aura donc assisté, cette année encore, à une lente érosion du nombre total de commentaires comme de celui des commentateurs (c'est bien une décroissance, mais non un effondrement!).

Enfin, notons tout de même que le cap du 26 000e commentaire sur le blog a été franchi le 20 décembre 2019, cependant que celui du 2000e billet avait été passé le 3 septembre 2019 (déjà). Mais au rythme actuel, on n'est pas près d'atteindre le chiffre du 1200e commentateur! Aujourd'hui 9 janvier 2019, les compteurs du blog de dasola s'établissent respectivement à 2044 billets, 26 115 commentaires et 1176 personnes venues au moins une fois déposer un commentaire chez dasola.

Je ne peux que déplorer (comme déjà fait précédemment) que dasola ne veuille plus "travailler" (désolé si ce mot égratigne les yeux!) à "prospecter" des blogs (et leurs blogueurs!) qu'elle ne connaît pas encore (et qui ne la connaissent pas non plus!). Pour 2019, en l'absence d'efforts, nous avons trace de seulement 10 nouvelles personnes qui étaient venues découvrir le blog de dasola, dont 8 via un commentaire unique, une pour 3 commentaires, et une qui est devenue "fidèle" (plus de 5 commentaires, entraînant mention dans la colonne de droite): Céline, en l'occurrence. Les chiffres de fréquentation cumulés dans ladite colonne de droite permettent comme chacun sait de repérer les blogueurs et blogueuses avec lesquels les échanges ont été ou demeurent assidus.

Un petit coup de chapeau particulier: en terme de nombre de commentaire par un blogueur sur 12 mois, c'est Missfujii qui est aujourd'hui recordwoman toutes catégories (que ce soit de date à date, ou sur une année civile). Depuis son tout premier commentaire (cf. colonne de droite), il n'y a guère eu que 30 billets sous lesquels elle n'a pas mis au moins une petite phrase de commentaire. A ce rythme-là (et s'il se maintient), elle aura droit à un entretien pour se présenter en tant que blogueuse, à l'occasion de son 500e commentaire chez dasola, d'ici à fin décembre 2023!

Plus près de nous, en 2020 je pense, "les" Matchingpoints ne devraient plus tarder à passer sous les projecteurs de cette présentation. Pour rappel, en 2019, cela a été le tour de Keisha (au mois d'avril - déjà!).

Et voilà, c'est donc reparti pour le 14ème millésime du blog de dasola (où ma propre participation reste modeste - moins d'une centaine de billets signés "ta d loi du cine, squatter chez dasola", alors que celui-ci est le 2044e paru sur le blog - en 13 ans, comme titré).

7 janvier 2020

Tout est pardonné - Charlie Hebdo 2015 (collectif)

Je (ta d loi du cine, "squatter" chez dasola) me suis procuré récemment la "compilation annuelle" des dessins parus dans Charlie Hebdo en 2015, publiée aux éditions Les Echappés (dépôt légal octobre 2015). Ce sera donc le sujet de ma chronique anniversaire cette année. 

P1110279    P1110305

Ce recueil de dessins ne comporte pas de texte, excepté la 4ème de couverture et deux pages en préface-hommage signées Riss, désormais le patron. On n'y trouvera pas de table des matières ni d'index. J'ai donc moi-même fait mes petits comptages pour quelques statistiques (gestion de données...). Je précise d'abord que les 5 dessinateurs assassinés ont chacun leur propre "chapitre", encadrés par un ou deux des 9 chapitres thématiques où se retrouvent les autres dessinateurs réguliers, d'avant ou d'après le 7 janvier, ainsi que ceux qui ont fourni occasionnellement quelques dessins (leurs noms figurent en 4ème de couv'). 

En prenant seulement en compte le nombre de dessins publiés, par ordre croissant, on trouve: Schwartz (1), Babouse (2), Dilem (2), Gros (2), Felix (4), Juin (6), Pétillon (6 - dont 4 de ceux que j'ai déjà cités ici -, ce qui représente la quasi-totalité de sa contribution), Willem (12), Wolinski (15 - presque tous consistant en une "bande" verticale), Foolz (22), Catherine (24), Honoré (43), Tignous (48), Coco (51), Charb (52), Cabu (35 ou 63, selon que l'ont tient compte ou non que 14 de ses contributions consistent en une bande verticale groupant 3 dessins), Luz (72), Riss (76).

De ces 184 pages et au moins 473 dessins (comme déjà dit, Cabu faisait des "bandes" que j'ai comptées pour 1, composées cependant de plusieurs vignettes), j'ai extrait, avec un peu de recul, quelques dessins des morts, mais aussi des vivants, pour une vision anachronique et universelle, même si on pourrait parfois la nommer macronique (non sans ironie), en 24 dessins (mais il en reste plein à découvrir aux lecteurs de l'ouvrage!). 

Ci-après, donc, ceux qui m'ont tapé dans l'oeil. J'ai choisi de mettre en avant, pour la plupart, des dessins intemporels, ou du moins qui, en 2020, ont conservé toutes les raisons du monde de faire écho à nos préoccupations actuelles. Ou, pour certains, parce qu'ils me parlaient à moi.

A tous seigneurs tous honneurs, voici une brochette de quelques Présidents. 

P1110294 p.40 (Luz)  P1110293 p.25 (Cabu)  P1110286 p.170 (Wolinski) P1110299 p.101 (Honoré)
  P1110296 p.59 (Charb)  P1110285 p.167 (Wolinski)
Bêêê, oui... (en 2015, il n'était encore "que" Ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique).

Je regroupe ci-après quelques transports ou déplacements (par différents moyens)...

P1110298 p.80 (Riss)  P1110303 p.132 (Tignous)  P1110301 p.81 (Catherine)

  P1110295 p.52 (Charb)  P1110302 p.91 (Honoré)  P1110304 p.134 (Tigous)

L'album trouve moyen de se gausser discrètement de la mode du "Je suis..." (il y en a bien quatre dessins sur ce thème, encore, que je n'ai pas relevés). Mais qu'auraient bien pu dessiner les 5 dessinateurs assassinés s'ils avaient eu connaissance de ce "mot d'ordre"?
P1110292  p.16 (Coco)  P1110281 p.145 (Coco): évidemment, le rapprochement de ces deux dessins est hyper-facile, désolé. Il n'empêche que le second est excellent, et d'actualité pour bien longtemps encore, j'en ai peur...

Ceux qu'il reste, je vais me permettre de les regrouper sous l'intitulé "Pensées, monologues et dialogues".

P1110282 p.152 (Coco)  P1110288 p.177 (Riss)  P1110291 p.10 (Luz)

  P1110289 p.181 (Foolz)  P1110287 p.174 (Riss)  P1110283 p.153 (Coco) 

P1110284 p.154 (Riss)  P1110290 p.9 (Coco)  P1110297 p.69 (Riss)  P1110300 p.106 (coco)

Encore une fois, je précise que mon choix est subjectif. En reconsidérant globalement ma sélection faite dessin par dessin, je m'aperçois que j'accroche davantage aux dessins de Coco qu'à ceux (plus austères?) de Foolz. De ce dernier, j'ai eu du mal à en retenir ne fût-ce qu'un seul. Question de style de dessin, d'humour, de thème? Et, une fois de plus dans cet album, le dessin de presse est considéré comme assez "fort" pour se suffire à lui-même, sans informations complémentaires telles que date de publication ou phrase de mise en contexte. Vecteur d'humour comme "coup de poing dans la gueule", selon la célèbre formule de Cavanna, que l'on a pu retrouver dans un de ses textes, initialement paru dans Charlie Hebdo N°34 du 12 juillet 1971, et re-publié cet été 2019 (N°1411 du 7 août 2019 [p.7]).

Après une deuxième lecture, j'aurais pu en prendre bien d'autres... Afin de vous inciter à découvrir l'ouvrage, je vais vous en lister quelques-uns: Cabu p.30 (les dingues), Catherine p.148 (identité), Charb p.66 (attendez!), Dilem p.152 (non au menu unique), Gros p.152 (dépression), Honoré p.89 (Wauquiez regroupant), Luz p.8 ("sans déc', les mecs!"), Riss p.76 (22 mars) et p.81 (35 h), Tignous p.130 (des cons qui ont monté leur boite) et p.142 (richesse), Willem p.11 (dédicace) ou p.174 (société du spectacle), Wolinski p.172 (crèches laïques)... Mes excuses à ceux que je n'ai pas évoqués par un des 24 "visuels" ci-dessus (ce qui fait déjà beaucoup). Disons enfin, pour ménager la chèvre et le chou, qu'en tant que lecteur régulier de Charlie Hebdo depuis 5 ans, je suis bien obligé de remarquer qu'aucun dessin de Zorro le timide n'avait été repris dans l'album (même s'il n'est pas le seul absent).

A noter que je n'ai pas réussi à trouver des blogs ayant chroniqué cet album (mais seulement des sites "professionnels"). Peut-être les algorithmes ou l'intelligence artificielle des moteurs de recherche sont-ils perturbés par le fait que son titre corresponde au dessin de couverture du "numéro des survivants" (Charlie Hebdo N°1178) publié le 14 janvier 2015 (vu son tirage à 7 millions d'exemplaires, pas la peine de le rajouter ici). Je mentionnerai tout de même le dernier billet de Strip journal, qui présente plusieurs autres articles intéressants sur Charlie Hebdo (notamment la reprise d'un article du Monde analysant les thèmes de couvertures de l'hebdomadaire de 2005 à 2015).

Mon "apport personnel" va encore consister à insister sur l'amertume du titre choisi pour ce recueil. Moi, il me fait penser à la phrase qu'Alexandre Dumas fait dire à Louis XIV dans Le Vicomte de Bragelonne: "pardonner n'est pas oublier". Je terminerai en remarquant que mon exemplaire de l'album provient sans doute de la bibliothèque d'une personne à qui il avait été offert pour Noël 2015 - il y a à peine plus de 4 ans (on voit encore les restes de la "pastille" qui recouvrait le prix du livre neuf).

P1110280bis

*

*          *

Cinq ans après l'attentat, je vais me permettre un petit récapitulatif de mes hommages personnels à Charlie Hebdo et aux victimes du massacre. Si je les ai commencés presque immédiatement, j'ai mis un certain temps à trouver le rythme régulier (mensuel) auquel je me tiens depuis bientôt trois ans. Tous ne sont pas accessibles par l'Index des livres du Blog de dasola.

On peut considérer que la liste ci-dessous constitue un retour aux "années insouciantes" (de 2007 à 2011, les jours heureux?) où j'aidais incognito dasola à remettre sous les yeux des lecteurs de son blog des listes de billets qui n'avaient encore été commentés, jusqu'à ce que chacun ait eu au moins un commentaire... 

Pour me débarrasser de mes statistiques en une seule phrase: ce sont 83 personnes différentes qui ont fait chacune de 1 jusqu'à 24 commentaires sur un ou plusieurs des 47 billets ci-dessous, dont chacun a reçu depuis un maximum de 16 commentaires jusqu'à un seul (pour un nombre total de commentaires de 272, à ce jour).

Je ne sais pas trop dans quel ordre les présenter, ces bilets... Je vais essayer ci-dessous des entrées nominatives (entre parenthèse, les dates de publications des billets sur le blog).

== Les dessinateurs ou chroniqueurs qui sont morts durant le massacre ==

Cabu [assassiné]
Le grand Duduche (Tome 1) (18 janvier 2015)
Le grand Duduche "Il lui faudrait une bonne guerre" (Tome 2)
Le grand Duduche "Passe ton bac, après on verra!" (Tome 5)
Le grand Duduche "A bas la mode!" (Tome 7)
Le grand Duduche et la fille du proviseur (Tome 8)
Passe ton bac, après on verra (Le Grand Duduche - l'intégrale) (7 juillet 2018)
Le journal des présidents (7 mai 2017)
Vive les comédiens! (7 juin 2018)
Cabu / Gébé / Willem Les années 70 (7 novembre 2019)
Cabu : cf. Pierre Dac

Elsa Cayat [assassinée]
Un homme + une femme = quoi? (7 septembre 2016)
Noël, ça fait vraiment chier (7 décembre 2017)

Charb [assassiné]
Je suis très tolérant (7 août 2017)
Maurice et Patapon (7 mars 2016)
Petit traité d'intolérance et Nouveau petit traité d'intolérance (7 septembre 2018)
Police partout (7 mars 2018)

Charb
: cf. Michel Husson
Charb
: cf. aussi Patrick Pelloux

Honoré [assassiné]
Je hais les petites phrases (25 janvier 2015)
Petite anthologie du dessin politique (7 septembre 2017)

Bernard Maris [assassiné]
L'avenir du capitalisme (7 avril 2019)
Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles (7 août 2019)
Marx, ô Marx, pourquoi m'as-tu abandonné? (7 novembre 2018)
Petits principes de langue de bois économique (17 février 2016)

Plaidoyer (impossible) pour les socialistes (7 avril 2017)

Tignous [assassiné]
Pandas dans la brume
(12 janvier 2015)
Le fric, c'est capital (7 juin 2017)
Murs Murs (7 juillet 2017)
Ni Dieu ni eux (7 février 2018)
Tignous et Gros : Comment rater ses vacances (7 août 2018)
Tignous et Paganelli : Le procès Colonna (7 février 2019)

Wolinski [assassiné]
Ca c'est moi quand j'étais jeune (27 janvier 2016)
J'hallucine! (7 mars 2017)
Scoopette (7 octobre 2017)

Maryse & Georges Wolinski : La divine sieste de papa (7 mars 2017)

Sans oublier les autres...
Festival "Rendez-vous du carnet de voyage" - Michel Renaud (7 janvier 2018)
Les victimes du massacre à Charlie Hebdo peu ou pas connues du public: Mustapha Ourrad / Franck Brinsolaro / Frédéric Boisseau / Ahmed Merabet (7 janvier 2019)

== Ceux qui ont (heureusement) survécu ==

Fabrice Nicolino [blessé]
Lettre à un paysan sur le vaste merdier qu'est devenue l'agriculture (7 septembre 2019)
Lettre à une petiote sur l'abominable histoire de la bouffe industrielle
Fabrice Nicolino & François Veillerette : Nous voulons des coquelicots (7 décembre 2018)

Riss [blessé]
Mémé, femme pratique (7 mars 2019)

Le procès Merah (7 juin 2019)

Philippe Lançon [blessé]
Le lambeau (7 octobre 2019)
 

== Autres collaborateurs de Charlie Hebdo [passés, présents, ...] ==

Catherine [Meurisse]
La légèreté (7 avril 2018)

Patrick Pelloux & Charb
J'aime pas la retraite (6 janvier 2016)

Pétillon
Pétillon et Charlie Hebdo (7 octobre 2018)

== Co-rédacteurs d'ouvrages [déjà listés ci-dessus - sauf exceptions] ==

Pierre Dac
Pensées (illustrées par Cabu)
(7 mai 2019)

Michel Husson & Charb
Le capitalisme en dix leçons (7 février 2017)

Maryse Wolinski
"Chérie, je vais à Charlie"
(7 décembre 2019)

Gébé : cf. Cabu

Gros : cf. Tignous

Dominique Paganelli : cf. Tignous

François Veillerette : cf. Fabrice Nicolino

Willem : cf. Cabu

== Divers autres articles (de types différents des précédents) ==

Mon tout premier billet à propos de Charlie, en appendice d'un billet sur le 8e anniversaire du blog de dasola (9 janvier 2015)

Un an de Charlie (11 janvier 2016)

Le street art et Charlie - Collectif / Marie Christian (7 novembre 2017)

Exposition : Cabu à la comédie française (salle Richelieu) (7 mai 2018)

Expositions en Normandie (Wolinski ou Vuillemin à l'honneur... et toujours Dubout!) (7 juillet 2019)

Je suis Charlie (moi aussi [dasola]) (16 janvier 2015)

Un dessin de Riss dans Charlie Hebdo (15 décembre 2018 [dasola])

Pour l'avenir, il me restera encore bien des oeuvres à présenter autour de Charlie, parues ou à paraître, des auteurs décédés ou de ceux bien vivants, dans des articles dont je n'ai sans doute pas encore idée aujourd'hui. 

*** Je suis Charlie ***
4 janvier 2020

Séjour dans les monts Fuchun - Gu Xiaogang

P1110611

L'année cinéma 2020 commence bien avec ce film chinois de 2H30, Séjour dans les monts Fuchun. Cette première oeuvre du réalisateur a cloturé la semaine de la critique au festival de Cannes en mai 2019. A Fuyang, ville au nord ouest de Shanghaï, on assiste à une réunion familiale. Dans un restaurant appartenant à son fils ainé, une grand-mère fête ses 70 ans entourée de ses quatre fils. L'ainé est marié à une femme de caractère, le deuxième qui est pêcheur vit désormais avec sa femme et son fils unique dans son bateau de pêche. En effet, leur habitation a été rasée comme d'autres dans leur quartier en pleine mutation. Le troisième ne travaille pas et ne trouve pas d'épouse au grand désespoir de sa famille. Quant au dernier, il a la charge seul de son fils trisomique, sa femme l'ayant quitté. Il gagne sa vie au jeu et cela l'amène à avoir des ennuis. La grand-mère est victime d'un malaise cardiaque, mais elle ne meurt pas, et ses fils se demandent comment ils vont pouvoir s'occuper d'elle après l'hôpital. Elle perd la tête et ils faut payer les soins hospitaliers. Dans la séquence suivante, on voit deux jeunes gens, une jeune femme et un jeune homme, parler de choses et d'autres tout en marchant le long de la rivière Fuchun. La caméra ne les lâche pas et les suit à la même allure. La jeune femme est la fille unique du couple de restaurateur. Malgré l'opposition de sa mère, elle voudrait épouser le jeune homme qui est enseignant. Pendant ce temps, la ville de Fuyang change, des habitations sont détruites, un ouvrier trouve des vieilles photos abandonnées dans un tiroir. Le restaurateur subit des pressions de "racketteurs". La grand-mère aussi est un peu laissée à l'abandon dans une maison de retraite avant que l'un des fils la reprenne chez lui. Le réalisateur observe tous les personnages sans les juger, et pendant ce temps, le temps passe avec le cycle des saisons, automne, hiver, printemps et été. Il y a des plans magnifiques d'arbres et de bâtiments sous la neige. J'ai quitté les personnages à regret, mais, à la fin, on nous annonce que c'est la fin du premier volet. En effet, le réalisateur a prévu une trilogie. J'ai hâte de voir la suite, pas encore tournée semble-t-il.

J'ai vu le film dans une salle pleine et très attentive. J'ai trouvé le film intéressant sur la Chine d'aujourd'hui.

Lire les billets d'Anne et de Pascale.

En conclusion, il faut noter que Séjour dans les monts Fuchun est le titre d'une oeuvre peinte avec la technique du lavis entre 1348 et 1350 sur un rouleau horizontal par l'artiste chinois Huang Gongwang (1269-1354).

1 janvier 2020

Voeux 2020

En compagnie des personnages de Tintin par Hergé, je vous souhaite une très bonne année 2020 avec tout plein de bonnes et belles choses. Et des livres...

P1110608  Copyright Hergé

P1110610 Copyright Hergé

 

Et sinon, derrière la rue où j'habite à Paris, dans des massifs d'arbustes, des personnes ont installé des petits filets verts avec de la nourriture pour oiseaux. Les moineaux qui ont presque disparu de la capitale viennent y picorer. Je trouve l'initiative sympathique.

Oiseaux_dec2019

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